En plus d'avoir tenté sa chance dans Danse avec les stars 8 (TF1) et d'officier comme chroniqueuse dans Les Terriens du dimanche (C8) au côté de Thierry Ardisson, Hapsatou Sy a créé sa propre marque de cosmétiques. Alors que son affaire semblait marcher comme sur des roulettes, l'entrepreneuse de 36 ans rencontre quelques difficultés...
Si elle vendait ses produits de beauté dans un boutique loft située dans le 12e arrondissement de Paris, Hapsatou Sy va devoir dire au revoir à son superbe showroom en pierre. Comme l'indiquent nos confrères du magazine Closer, la chérie de Vincent Cerutti se retrouve malgré elle mêlée à une affaire de loyers impayés traînant depuis février 2016.
D.N.E, la société avec laquelle la jolie brune a un contrat de licence de marque, est en effet en conflit avec la Semaest, société qui loue les voûtes de la ville de Paris. Comme l'indique l'ordonnance de référé du tribunal de grande instance de Paris datée du 16 septembre 2016, la Semaest réclame près de 60 000 euros de loyers non versés. De son côté, D.N.E, en difficultés financières, ne conteste pas les faits.
Alors que la Semaest souhaite expulser D.N.E, cette dernière a demandé un délai de douze mois supplémentaires pour payer ses dettes. Une requête rejetée par les juges en mars 2017, qui lui ont alors laissé six mois pour régulariser la situation et quitter les lieux. Le délai n'ayant pas été respecté, la Semaest a aujourd'hui le droit d'expulser D.N.E.
De son côté, Hapsatou Sy, "ni dirigeante ni actionnaire" d'après un proche du dossier, pâtit de la situation. "Elle ne peut être tenue pour responsable de la mauvaise gestion d'une société avec laquelle elle est seulement en contrat et qui vend d'autres produits que les siens", précise alors cette même source.
La maman de la petite Abbie (1 an et demi) s'était alors penchée sur la possibilité de mettre un terme à son contrat avec D.N.E. Mais en se rendant compte que les employés du showroom seraient mis à la porte, elle a renoncé. Hapsatou Sy a finalement négocié, en échange de la poursuite de son contrat, que sa soeur soit nominée à la tête de la société, espérant une meilleure gestion de celle-ci. Une stratégie perdante puisque la Semaest cherche déjà un nouveau locataire...