En parallèle de sa carrière de chroniqueuse à la télévision, Hapsatou Sy est entrepreneuse. Salons de beauté, marque de cosmétiques... La jeune femme de 38 ans a enchaîné les projets. Mais, en 2018, elle aurait rencontré des difficultés financières. Certains la disaient même complètement ruinée ! Auprès de nos confrères du magazine Public, l'amoureuse de l'animateur Vincent Cerutti met les choses au clair.
Aujourd'hui, Hapsatou Sy assure "vivre plutôt bien". "Je n'aurais pas l'impolitesse de dire que je suis ruinée alors que je sais ce que c'est que la pauvreté. J'ai grandi avec des parents qui avaient du mal à boucler les fins de mois, encore une fois, j'ai été pauvre, je sais ce que c'est", ajoute la femme d'affaires. Ainsi, la maman de la petite Abbie (2 ans et demi), née de ses amours avec Vincent Cerutti, refuse de se dire ruinée : "Je me considérerai ruinée le jour où mes parents ne mangeront plus à leur faim."
Rappelons que l'ex-chroniqueuse de Thierry Ardisson dans Les Terriens du dimanche (C8) a grandi à Chaville, dans les Hauts-de-Seine. Avec ses sept frères et soeurs ainsi que ses parents, elle habitait un HLM disposant de trois chambres. "Mon enfance a été follement joyeuse, on vivait modestement mais on ne manquait de rien", se souvient Hapsatou Sy.
Concernant ses finances, la jeune maman avait dû faire face à un coup dur l'année dernière. Alors que ses produits de beauté étaient vendus dans une boutique loft du 12e arrondissement de Paris, elle était mêlée à une affaire de loyers impayés traînant depuis février 2016, comme l'avaient indiqué nos confrères de Closer. En septembre dernier, après le clash entre Eric Zemmour et Hapsatou Sy sur le plateau de Thierry Ardisson, l'animateur en noir avait pris la parole, expliquant avoir avancé les salaires de six émissions à sa chroniqueuse qui a "pas mal de problèmes d'argent". "On est tellement méchants que quand quelqu'un nous dit 'je n'arrive pas à payer mes impôts', on lui avance six émissions. Je connais pas beaucoup de productions qui font ça à Paris", avait-il ajouté.
L'interview d'Hapsatou Sy est à retrouver en intégralité dans le magazine Public, actuellement en kiosques.