Hugo Clément n'est pas du genre à ignorer ce qui lui paraît choquant. Dimanche 25 octobre 2020, le journaliste de 30 ans s'est cette fois-ci attaqué à Manon et Julien Tanti après avoir constaté avec horreur que le couple s'était amusé à se filmer en compagnie d'animaux sauvages dans un zoo de Dubaï. Fervent défenseur de nos amis les bêtes, il s'est empressé de dénoncer avec véhémence ce type d'agissement.
"Quand deux candidats de télé-réalité suivis par plus de 6 millions de personnes se filment en story en train de promener un singe en laisse, de caresser un crocodile attaché, dont la gueule est maintenue fermée par du gros scotch (WTF ?), de 'jouer' avec un bébé tigre en cage...", s'est-il insurgé sur Twitter. Le compagnon d'Alexandra Rosenfeld a même pris contact avec l'agent de Manon et Julien pour lui faire part de son indignation. "Ce 'zoo' se trouve à Dubaï. @MagaliBerdah, qui gère ces deux candidats de télé réalité avec @Shaunaevents, me disait hier soir ne pas être au courant", nous apprend-t-il.
Les bêtes ne sont pas droguées
Contrairement à ce qu'on pourrait penser, les internautes n'ont pas tous partagé le choc d'Hugo Clément en découvrant les images. Certains ont même vivement défendu les parents de Tiago (2 ans) et Angelina (1 mois). "Faut arrêter de voir le mal partout : au contraire on peut voir ça comme un rapprochement", "Oui et ? Marre de ces pseudos écolos, il fait quoi Hugo Clément pour la planète ? Il vit dans une grotte ? Se lave dans la rivière ? Se promène en calèche et mange de la pelouse ?", "C'est plus facile et ça fait plus de buzz de s'attaquer à des candidats de tv réalité mais à part ça, je ne vois pas l'intérêt", peut-on lire en commentaires.
De leur côté, Manon et Julien n'ont pas encore réagi aux critiques du reporter. La jeune femme avait toutefois assuré que les animaux étaient tous biens traités et "super heureux" dans le centre. "Les bêtes ne sont pas droguées, pas endormies, elles sont pleines de joie de vivre dans de bonnes conditions et viennent de foyers où elles étaient maltraitées", expliquait-elle au côté d'un gérant de l'établissement.