Julien Clerc défend son album À nos amours, porté par le magnifique single Je t'aime etc. Dans ses interviews, il est souvent question de l'amour qu'il porte à son épouse, la romancière Hélène Grémillon (40 ans). Cette semaine dans Paris Match, le chanteur revient sur la surprise qu'elle lui a réservée pour ses 70 ans et la réaction touchante de son ex-épouse Virginie Coupérie-Eiffel.
Bien avant Hélène et la naissance de leur petit Léonard, 9 ans, Julien Clerc a vécu deux grandes histoires d'amour : d'abord avec l'actrice Miou-Miou avec qui il a élevé deux filles, Angèle Herry (43 ans) et Jeanne (39 ans) ; puis il a épousé la cavalière Virginie Coupérie-Eiffel, mère de ses enfants Vanille (31 ans, et chanteuse comme papa) et Barnabé (20 ans). Au Parisien, Julien Clerc confiait tout récemment comment s'était déroulé son 70e anniversaire, qu'il a fêté le 4 octobre : "Avec Miou-Miou, on se revoit toujours avec bonheur. Elle était présente à mon dîner d'anniversaire des 70 ans. Il y avait les filles et leurs mamans, Miou-Miou et Virginie. Je suis très reconnaissant à Hélène, ma femme, d'avoir permis cela."
Le geste d'Hélène Grémillon n'a pas seulement touché Julien. Dans Paris Match, le chanteur évoque la réaction de Virginie avec laquelle il a vécu pendant presque vingt ans : "J'ai fêté mes 70 ans avec mes filles et leurs mamans. Et c'était un beau symbole. Mon ex-épouse Virginie m'a envoyé un SMS le lendemain : 'Ce n'est pas rien de réunir toutes ses femmes, ça prouve la qualité de l'homme.' Ça veut peut-être dire que je n'ai pas trop mal réussi mon parcours."
Dans cette interview, Julien Clerc revient sur ses rapports avec celui qui fut son parolier fétiche, le regretté Étienne Roda-Gil, mais aussi l'ivresse du succès dans les années 1980 et sa courte expérience avec la cocaïne. Très vite, il revient sur son installation à Londres, où son fils Leonard "termine son cycle d'école primaire" : "Mais je sais que nous devrons rentrer un jour", estime le chanteur. Quand on lui parle exil fiscal – celui de Florent Pagny au Portugal n'est pas passé inaperçu –, l'artiste ne fait pas de mystère : "Cette expérience nous aura tous les trois enrichis culturellement parlant. Je travaille en France, donc je paie mes impôts en France. Et il faut être un grand industriel pour éventuellement s'établir à l'étranger. Moi, mon argent, je le gagne en France. Et le souci de ma vie a toujours été d'être dans les clous. (...) Je n'ai jamais cherché à fuir l'impôt."
Pour défendre ce nouvel album, Julien Clerc partira évidemment sur les routes, dès le 23 novembre. Il sera à l'Olympia de Paris du 9 au 11 mars ainsi que du 16 au 18 mars à la salle Pleyel.