Justin Bieber décroche la couverture du dernier numéro de Rolling Stone.
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Justin Bieber par-ci, Justin Bieber par-là... On frôle l'indigestion, et pourtant, il faut bien reconnaître que tout ce qu'il touche se transforme en or. Sa participation à la série Les Experts, fin 2009, est venu booster les audiences ; son biopic en 3D Never say never , sorti aux Etats-Unis le 11 février, a réalisé le meilleur démarrage de la semaine ; ses albums se vendent comme des petits pains ; sa bande dessinée, en vente le mois prochain, enregistre un nombre record de précommandes... Un vrai phénomène, on vous dit !
Le magazine Rolling Stone lui consacre même la couverture de son nouveau numéro, en kiosques aujourd'hui aux Etats-Unis... La consécration pour un jeune Canadien qui soufflera ses 17 bougies le 1er mars prochain. Echange de bons procédés, celui qui sera de passage au Grand Rex, ce jeudi 17 février pour présenter son biopic, accorde un entretien au magazine avec des révélations jusque-là inédites : politique, avortement, et même... sexe ! Justin Bieber a décidé de tout dire ! Et a même laissé quelques indices au sujet de sa relation avec Selena Gomez comme une photo les illustrant ensemble face à un coucher de soleil, en guise de fond d'écran de son ordinateur... L'erreur du débutant !
"Je pense qu'on ne doit pas coucher avec une personne avant d'être certain d'être amoureux !"
"Je pense qu'on ne doit pas coucher avec une personne avant d'être certain d'être amoureux. Je pense qu'il faut attendre la bonne personne", confie-t-il dans le dernier numéro de Rolling Stone. Toujours dans sa dynamique conservatrice, il poursuit en s'étalant sur l'avortement : "Je ne suis vraiment pas favorable à l'avortement. C'est le fait de tuer un bébé, c'est ça ? Dans les cas de viol, je trouve que c'est triste, mais que les choses arrivent pour une raison bien précise dans la vie. Je suppose que je ne peux pas vraiment juger cette situation car je ne l'ai jamais vécue", explique-t-il avec une certaine maladresse.
Le p'tit Bieb', qui enregistrera ce jeudi 17 février une interview sur NRJ, diffusée dans le 6/9 de vendredi, est un puritain jusqu'au bout des cheveux... Pas question pour lui de renvoyer une image trash de la jeunesse. L'enjeu est de taille : il s'agit de conquérir les parents de ses fans en véhiculant un discours bien lisse, et en adéquation avec les valeurs défendues par ces mêmes parents.
"L'Amérique, c'est l'enfer ! Le Canada est le meilleur pays du monde."
Justin Bieber se révèle véritablement dans cette interview puisqu'il aborde un autre sujet jusque-là jamais évoqué : la politique, et plus précisément, les systèmes de santé américains.
"L'Amérique, c'est l'enfer ! Le Canada est le meilleur pays du monde. On va chez le médecin sans avoir à se préoccuper du paiement, mais aux Etats-Unis, on peut se ruiner en dépenses médicales. Par exemple, le bébé de mon garde du corps est né prématuré, et maintenant, il reçoit les factures. Au Canada, si votre bébé naît prématuré, il reste à l'hôpital aussi longtemps que nécessaire et les parents peuvent rentrer à la maison", explique le jeune chanteur canadien.
Le jeune Bieb's ne sait pas que résoudre des Rubik's Cub, manger des donut's dans les poubelles, ou boire du lait en un temps record, il sait aussi réfléchir et débattre de sujets sérieux ! Serait-ce... un surhomme ?
Joachim Ohnona
Le magazine Rolling Stone lui consacre même la couverture de son nouveau numéro, en kiosques aujourd'hui aux Etats-Unis... La consécration pour un jeune Canadien qui soufflera ses 17 bougies le 1er mars prochain. Echange de bons procédés, celui qui sera de passage au Grand Rex, ce jeudi 17 février pour présenter son biopic, accorde un entretien au magazine avec des révélations jusque-là inédites : politique, avortement, et même... sexe ! Justin Bieber a décidé de tout dire ! Et a même laissé quelques indices au sujet de sa relation avec Selena Gomez comme une photo les illustrant ensemble face à un coucher de soleil, en guise de fond d'écran de son ordinateur... L'erreur du débutant !
"Je pense qu'on ne doit pas coucher avec une personne avant d'être certain d'être amoureux !"
"Je pense qu'on ne doit pas coucher avec une personne avant d'être certain d'être amoureux. Je pense qu'il faut attendre la bonne personne", confie-t-il dans le dernier numéro de Rolling Stone. Toujours dans sa dynamique conservatrice, il poursuit en s'étalant sur l'avortement : "Je ne suis vraiment pas favorable à l'avortement. C'est le fait de tuer un bébé, c'est ça ? Dans les cas de viol, je trouve que c'est triste, mais que les choses arrivent pour une raison bien précise dans la vie. Je suppose que je ne peux pas vraiment juger cette situation car je ne l'ai jamais vécue", explique-t-il avec une certaine maladresse.
Le p'tit Bieb', qui enregistrera ce jeudi 17 février une interview sur NRJ, diffusée dans le 6/9 de vendredi, est un puritain jusqu'au bout des cheveux... Pas question pour lui de renvoyer une image trash de la jeunesse. L'enjeu est de taille : il s'agit de conquérir les parents de ses fans en véhiculant un discours bien lisse, et en adéquation avec les valeurs défendues par ces mêmes parents.
"L'Amérique, c'est l'enfer ! Le Canada est le meilleur pays du monde."
Justin Bieber se révèle véritablement dans cette interview puisqu'il aborde un autre sujet jusque-là jamais évoqué : la politique, et plus précisément, les systèmes de santé américains.
"L'Amérique, c'est l'enfer ! Le Canada est le meilleur pays du monde. On va chez le médecin sans avoir à se préoccuper du paiement, mais aux Etats-Unis, on peut se ruiner en dépenses médicales. Par exemple, le bébé de mon garde du corps est né prématuré, et maintenant, il reçoit les factures. Au Canada, si votre bébé naît prématuré, il reste à l'hôpital aussi longtemps que nécessaire et les parents peuvent rentrer à la maison", explique le jeune chanteur canadien.
Le jeune Bieb's ne sait pas que résoudre des Rubik's Cub, manger des donut's dans les poubelles, ou boire du lait en un temps record, il sait aussi réfléchir et débattre de sujets sérieux ! Serait-ce... un surhomme ?
Joachim Ohnona