Kate Middleton est-elle inquiète ? Si la duchesse de Cambridge est récemment apparue le sourire aux lèvres au côté du prince William dans les tribunes du tournoi de Wimbledon, la maman de George, Charlotte et Louis est en réalité bien plus tracassée qu'il n'y paraît. Si ses parents Carole et Michael s'en sont sortis haut la main dans leur business de société de fêtes, son frère James, lui aussi piqué par l'entreprenariat, ne gère pas aussi bien. Comme le révèle le très sérieux Daily Mail, Boomf, l'une de ses anciennes sociétés, fait l'objet d'une enquête de la brigade financière après un paiement suspect de 52 000 livres (un peu plus de 60 000 euros, ndlr) en carte bleue.
Pour rappel, Boomf, société de personnalisation de marshmallows, a fait faillite. Malgré des pertes estimées à plus de 2 millions, James Middleton n'a eu d'autres choix que de rembourser les créanciers, investisseurs qui l'avaient aidé à financer son projet, parmi lesquels son beau-frère James Matthews, mari de Pippa Middleton. Au même moment, une enquête, menée par le cabinet d'avocats Withers, s'est intéressée aux comptes de l'entreprise et a donc découvert l'énorme somme versée par la directrice financière de l'époque.
Cette dernière affirme avoir payé cette somme "uniquement pour protéger sa position de crédit personnelle." En pensant bien faire, la fautive a finalement fait tout l'inverse : "Elle n'aurait pas dû. Le créancier n'aurait pas dû recevoir cet argent et nous le réclamons." Dans un rapport publié dans le Daily Mail, les enquêteurs se sont exprimés : "Nous sommes obligés d'examiner toutes les informations dont nous disposons et de procéder à une première évaluation pour déterminer s'il existe des questions susceptibles de conduire à des recouvrements au profit des créanciers."
Face à un tel tollé, James Middleton a brisé le silence et rassuré sur la véritable nature des investigations financières à son encontre, évoquant un "processus administratif habituel." Il s'agit tout de même d'un nouveau coup dur pour le mari d'Alizée Thévenet, après avoir vendu son bébé en janvier dernier : "En tant que marque de niche personnalisée, il est devenu difficile pour Boomf de survivre en tant qu'entreprise autonome dans cet environnement de plus en plus concurrentiel. Notre priorité a été de protéger notre équipe et d'assurer l'avenir de notre marque et nous sommes ravis d'avoir conclu avec succès la vente de l'entreprise." Une cession qui ne le laisse pas tranquille pour autant, visiblement...