Victime d'un début de grossesse cauchemardesque, Kate Middleton affiche désormais une forme éblouissante. Et pas seulement celle de son ventre qui s'arrondit à vue d'oeil : enceinte de son deuxième enfant avec le prince William, dont la naissance est attendue au mois d'avril, la duchesse était très à son avantage lors de ses trois sorties officielles de janvier, et à nouveau lors de ses missions de février, après un break sous le soleil des Caraïbes. Et un signe de plus tend à prouver que la jeune femme, qui a fêté ses 33 ans en début d'année, parvient à gérer de front carrière royale et rôle de maman impliquée : l'aide d'une seconde nounou n'est pas d'actualité, contrairement à ce qui avait été précédemment avancé...
En septembre 2014, Kate Middleton était au plus mal, subissant de plein fouet les symptômes d'hyperémèse gravidique (violentes nausées) qui l'avaient déjà affectée lorsqu'elle était enceinte de George et qui l'obligeaient de nouveau à renoncer à tous ses engagements officiels. Dans les jours qui suivirent la révélation de sa seconde grossesse, les médias britanniques annonçaient que le duc et la duchesse de Cambridge avaient prévu de s'attacher les services d'une assistante maternelle professionnelle, en plus de Maria Teresa Turrion Borrallo, la nounou espagnole polyvalente aux références impeccables embauchée pour aider à gérer l'"épuisant" prince George, responsable de nombreuses nuits blanches. Une information que dément désormais l'hebdomadaire Hello!.
Citant une source royale, le magazine affirme que William et Kate continueront à s'inscrire en rupture par rapport à la tradition au sein de la famille royale, en se passant d'une autre recrue : "En tant que jeunes parents, le duc et la duchesse veulent profiter de passer du temps avec leur nouveau bébé, avec tout ce que cela implique. Il n'y a aucun projet de passer une annonce pour une nourrice ou une assistante maternelle", assure l'informateur de la revue. Il y a fort à parier que les principaux renforts viendront de l'intérieur : Carole Middleton, qui a fêté fin janvier ses 60 ans, devrait à nouveau jouer les premiers rôles, comme ce fut le cas dans les semaines qui suivirent la naissance du prince George, en juillet 2013 dans l'aile Lindo de l'hôpital St Mary (là où Kate devrait accoucher en avril prochain, sous la supervision du docteur Alan Farthing).
Après la venue au monde du petit frère ou de la petite soeur de Georgie, les Cambridge vont probablement faire retraite dans leur maison de campagne de Sandringham (Norfolk), Anmer Hall, spécialement aménagée pour leur installation durable. D'autant que le prince William ne prendra pas ses fonctions de pilote d'hélicoptère ambulance de l'EAAA (East Anglia Air Ambulance) avant l'été prochain : en pleines révisions pour ses derniers examens, le duc rejoindra d'abord au printemps l'aéroport de Cambridge, mais ne sera pas immédiatement opérationnel.
Côté offres d'emploi royales, si William et Kate ne recrutent pas, il y a en revanche un poste intéressant à pourvoir au service de Sa Majesté la reine Elizabeth II. Le service des écuries royales (Royal Mews), parc automobile de l'administration du personnel royal (Royal Household), recherche présentement un chauffeur pour assurer les déplacements courants de la souveraine, des membres de la famille royale et de leurs invités. Parmi les missions inhérentes au poste figurent également l'entretien (maniaque) des véhicules et l'établissement d'itinéraire pertinents. En contrepartie, le contrat, qui porte sur 48 heures hebdomadaires, inclut le logement sur place (loyer déduit du salaire) et les repas. Les candidats, qui doivent évidemment être titulaires d'un permis de conduire en cours de validité mais aussi justifier d'une expérience professionnelle dans le domaine, sont appelés à "jouer un rôle à part entière dans le fonctionnement quotidien, en douceur, du Royal Household" et à "travailler dans un environnement professionnel unique et stimulant", selon les termes de l'annonce, active jusqu'au 8 mars. Calme à toute épreuve et discrétion sont plus que jamais requises, pour pouvoir espérer conduire l'une des Bentley, Range Rover ou Land Rover royales, avec peut-être à son bord la monarque ou la duchesse de Cambridge...
