Le 8 septembre dernier, la reine Elizabeth II rendait son dernier souffle, de quoi attrister le peuple britannique. Le fils de sa Majesté, le prince Charles, a alors été proclamé roi. L'occasion pour le journaliste Christopher Andersen de retracer la vie du nouveau souverain à travers une biographie intitulée Le roi : la vie de Charles III, qui sortira dans les librairies le 8 novembre prochain, soit deux mois, jour pour jour, après le décès de la reine.
Dans cet ouvrage, il revient notamment sur un scandale qui avait heurté la famille royale royale à l'époque, en 2012 : des photos prises de Kate Middleton topless en train de bronzer au bord d'une piscine dans le Vaucluse ont été prises. "Découvrez les clichés incroyables de la future reine d'Angleterre telle que vous ne l'avez jamais vue... et telle que vous ne la reverrez jamais !", pouvait-on lire en une du magazine Closer quelques jours plus tard.
"Elle ne peut s'en prendre qu'à elle-même ! Kate Middleton est géniale mais elle ne devrait pas bronzer nue. Qui ne la prendrait pas en photo pour gagner beaucoup d'argent si elle faisait son bain de soleil comme ça", avait alors réagi Donald Trump sur son compte Twitter, lui qui est devenu quelques années plus tard président des États-Unis. Des propos qui auraient provoqué, d'après Christopher Andersen, "des torrents de grossièretés" de la part du prince Charles et du prince William. Ce qui, vu leur rang, est impensable.
Des commentaires qui auraient même poussé les deux hommes à "décourager" le président américain de se rendre à Londres après son élection en 2017. Même si en 2018, Donal Trump expliquait ne pas s'être rendu dans la capitale anglaise car il n'était "pas un grand fan de l'administration Obama qui a vendu ce qui était peut-être l'ambassade la mieux située et la plus belle de Londres pour des 'cacahuètes'".
À noter que pour cette histoire de photos, le prince William et Kate Middleton ont gagné "100 000 euros de dommages et intérêts, tandis que les deux photographes en question avaient été condamnés "à une même amende de 45 000 euros".