Depuis la publication des photos par le magazine Closer de Kate Middleton seins nus lors de ses vacances dans le Luberon cet été, les réactions fleurissent un peu partout...
Après la consternation à l'annonce de la parution des clichés, c'est la colère qui a pris le pas au sein du couple princier. Après avoir appris lors d'un petit déjeuner en Malaisie, étape de leur séjour officiel en Asie du Sud-Est, ce que le site Closer.fr annonçait comme une exclusivité mondiale, le prince William et Kate ont éprouvé une sourde colère, comme l'expliquait un porte-parole du couple au Daily Mail.
"Leur tristesse a tourné à la colère et à l'incrédulité alors que nous en apprenions plus sur les photographies. Nous croyons qu'une ligne rouge a été franchie et nous consultons les avocats français pour voir, le cas échéant, quelles mesures peuvent être prises", explique-t-il ainsi, précisant que n'étant pas familiarisés avec la loi française, ils avaient " besoin de consulter".
D'autres sources, qui accompagnent le duc et la duchesse de Cambridge dans leur voyage en Asie du Sud-Est qui les a menés à Singapour et maintenant en Malaisie, confient que William et Catherine sont "blessés, choqués, furieux et dégoûtés". Ces derniers ont promptement réagi dans une déclaration d'une rare fermeté, se disant une nouvelle fois "extrêmement attristés" par la manière dont les clichés avaient pu être pris.
"Leurs Altesses royales ont été extrêmement attristées d'apprendre qu'une publication française et un photographe avaient envahi leur vie privée de manière grotesque et totalement injustifiable, a ainsi déclaré le couple princier par voie de communiqué. L'incident n'est pas sans rappeler les pires excès de la presse et les paparazzi du temps de Diana, princesse de Galles, ce qui le rend d'autant plus troublant pour le duc et la duchesse. Leurs Altesses royales avaient toutes les raisons de croire que leur vie privée serait protégée dans cette maison isolée. Il est impensable que quelqu'un puisse prendre de telles photos et encore moins les publier. (...) Les officiels agissant au nom de Leurs Altesses royales sont en consultation avec les avocats pour examiner les options qui s'offrent au duc et à la duchesse."
Une affaire qui ne fait que commencer...