Elle a couru aux quatre coins de la planète pour les besoins de sa grande tournée artRAVE: The ARTPOP Ball, dont la dernière date s'est tenue le 24 novembre à Paris : sitôt sa série de concerts terminée, Lady Gaga a sauté dans le premier avion en partance pour New York pour retrouver son amoureux Taylor Kinney, dont elle se languissait visiblement.
Et c'est depuis son lit que la diva de 28 ans nous a donné de ses nouvelles, publiant sur Instagram une vidéo à l'occasion de Thanksgiving dans laquelle elle déclare une nouvelle fois son amour pour ses Little Monsters, nom affectueux qu'elle donne depuis bien longtemps à ses admirateurs. Au naturel et, fait incroyable, sans maquillage, la chanteuse s'adresse pendant quelques secondes à ces derniers et leur délivre un message plein de bons sentiments. "Joyeux Thanksgiving Little Monsters. Je vous aime tellement et il n'y a aucune chose au monde pour laquelle je sois autant reconnaissante que de vous avoir dans ma vie", livre ainsi solennellement la star.
Mais, confortablement allongée sur des draps blancs, il s'avère que Lady Gaga est en très bonne compagnie puisque se trouve à ses côtés son boyfriend, Taylor Kinney, beau gosse de 33 ans qui officie actuellement dans la série Chicago Fire. Si on ne le voit pas à l'écran, l'acteur fait en sorte que sa présence se fasse remarquer : espiègle, le chéri de Lady Gaga (ils se fréquentent depuis 3 ans) n'a pas manqué de lui faire une bonne blague et de lui balancer un oreiller sur la tête, histoire de bien montrer que le couple ne se prend pas au sérieux.
Cette vidéo est surtout l'occasion de voir la chanteuse un peu plus "normale" que d'habitude. Ces derniers temps, Lady Gaga nous a en effet habitués à des tenues plus extravagantes les unes que les autres avec une mention tout particulière pour son look d'oursin géant et brillant de mille feux, avec lequel elle a été récemment vue dans les rues de Paris. Pour une fois c'est en effet une Mother Monster presque identique au commun des mortels qui s'est affichée sur les réseaux sociaux, et Dieu sait que la chose est rare...