Il avait prévenu. Il a tenu parole. Pierre Henri, l'ex de Laure Manaudou qu'elle accuse d'avoir diffusé ses photos intimes, a déposé plainte selon une information exclusive du magazine Closer. Une histoire qui va donc se poursuivre devant les tribunaux.
Dans son autobiographie Entre les lignes dont elle fait la promotion un peu partout, la sirène des bassins revenait sur cette histoire qui avait fait la une des médias à l'époque : la diffusion de ses photos intimes. Si les soupçons se sont longtemps portés sur Luca Marin, c'est finalement Pierre Henri, un autre ex, qui serait selon elle l'auteur de la diffusion des photos. Un ex qui n'a pas apprécié le passage, comme il l'avait expliqué à Closer. S'il a reconnu que Laure Manaudou lui envoyait des photos d'elle nue quand ils étaient ensemble, il nie être à l'origine de la diffusion et expliquait il y a peu être en train d'étudier avec son avocat "la possibilité d'une action en justice". L'avocat de Pierre Henri, Valéry Le Douguet, a confié à Closer dans son édition en kiosques ce 17 octobre que son client avait porté plainte contre Laure Manaudou.
Le 16 octobre, nous écrivions : C'est une plainte pour diffamation qui a donc été déposée par Pierre Henri, comme l'explique dans les colonnes de Closer Me Le Douguet, évoquant des "allégations mensongères" et demandant des dommages et intérêts. "Je constate tous les jours que cette histoire a des répercussions sur mon client et que cela rejaillit même sur ses proches. C'est un préjudice qui doit être réparé", confie-t-il dans Closer.
Dans l'ouvrage, Entre les lignes, Laure Manaudou revient sur cet épisode et explique comment ses photos publiées fin 2007 avait été envoyées à Pierre Henri plus d'un an avant : "Avec Pierre je n'ose pas dire non. Il veut ses photos ? Je m'exécute. Il me donne des indications, réclame des poses, de plus en plus osées, sous toutes les coutures. Et comme une conne, je fais ce qu'il dit. En débardeur, en mini short puis en slip, en string, et finalement plus rien... Dans le secret de ma salle de bain, sur fond de carrelage blême, sous la lueur électrique du néon, je m'effeuille pour les beaux yeux d'un garçon que je n'aime plus. Bientôt je suis entièrement nue, et même plus que nue. Je dévoile mes seins, mes fesses, mon sexe...L'idée m'effleure que je lui envoie des balles pour m'abattre, que ces clichés sont comme un pistolet chargé dans la main d'un amant congédié."
Ce sera donc à la justice de dire si Pierre Henri a appuyé sur la gâchette ou non...
Une affaire à retrouver plus en détail dans le Closer du 17 octobre