C'est une histoire en deux actes, celle de la réaction de Laurence Boccolini à la claque de Will Smith sur Chris Rock dans la nuit de dimanche à lundi lors de la cérémonie des Oscars. Une claque qui restera longtemps dans les mémoires tant elle a été vue, diffusée, commentée, critiquée ou défendue.
Dans un premier temps, l'animatrice a pris parti assez nettement en faveur de Will Smith. "Elle est la gifle que l'on a rêvé de coller aux critiques minables, etc, a-t-elle affirmé avant d'atténuer son propos en commentaire et de proclamer une sorte de match nul entre les deux hommes. La violence n'est jamais une solution...ceci dit ... La violence des mots est sous estimée. Alors 1 partout !"
C'est ainsi que lolobocco (son nom sur Instagram) a vu une déferlante de critiques s'abattre sur elle. On notera en particulier certains commentaires : "Drôle de mentalité d'adouber la violence pour une mauvaise blague d'un acteur/humoriste n'importe quoi" ou encore, "vous défendez la cause des femmes en défendant la violence d'un homme ..." Dans quelques commentaires isolés, la journaliste a trouvé le soutien de plusieurs internautes mais le mal est fait, elle sera obligée de faire une mise au point quelques heures plus tard. "Très peu osent défendre leur femme, je trouve ça respectable de la part de Will Smith. On manque de respect à sa femme, il répond c'est normal" pouvait-on effectivement lire.
Aussi à peine neuf heures plus tard, l'ex star du Maillon faible a réagit de nouveau pour éclaircir son opinion. "Finalement cette baffe aura permis à beaucoup de monde de parler : des baffe, de la violence, a-t-elle philosophé pour commencer sa réflexion avant de fustiger la lecture de son message par certains internautes, beaucoup ont vu en mon post une ode à la violence (...) et ce soir je leur conseil d'aller chez Afflelou."
"A part ça y a plus grave en ce moment... je dis ça je dis rien. Sinon pour ceux qui veulent continuer à voir dans mes mots ce qui ne s'y trouve pas , pas allez y ... j'ai l'habitude" a-t-elle conclu en commentaire de sa publication.