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A l'instar de Sara Giraudeau, qui a avoué n'avoir ressenti aucune émotion en regardant un film qui semblait "intouchable", The Artist, c'est l'acteur et réalisateur Gustave Kervern qui donne son avis sur Les Garçons et Guillaume à table !. Auréolé de cinq César (film, premier film, acteur, adaptation et montage) et crédité de plus de 2 millions d'entrées, le long métrage a marqué l'année 2013 du Septième Art en France. Pourtant, si Guillaume Gallienne a reçu une pluie d'éloges, son oeuvre ne fait pas l'unanimité.
A la question : "Quel film vous tombe des yeux avant la fin ?", Gustave Kervern répond : "Par respect pour les auteurs, normalement, je me fais un devoir d'aller jusqu'au bout. Mais je ne sais pas pourquoi, je n'ai jamais pu voir La Strada en entier. Plus récemment, c'est Guillaume et les garçons à table ! [sic - petite inversion du véritable titre] que je n'ai pas regardé jusqu'à la fin. Je n'ai pas trouvé ça bon."
Tout le monde ne dit pas "I Love You" à Guillaume Gallienne, mais il faut dire que le sacre que l'acteur et réalisateur a reçu à la dernière cérémonie des César a été suffisamment brillant pour que certains aient la possibilité de dire que ce film ne les a pas touchés en plein coeur, sans traumatiser l'artiste Gallienne pour autant.
Révélé par la maison "Groland" de Canal+, Gustave Kervern s'est fait un nom à travers ses réalisations qui font des portraits tendres, drôles mais aussi parfois douloureux des marginaux et des laissés-pour-compte de la société : Aaltra, Avida, Louise-Michel, Mammuth et Le Grand Soir. Il revient avec la casquette d'acteur cette fois pour Dans la cour de Pierre Salvadori. Le réalisateur des Apprentis le transforme en concierge qui se lie d'amitié avec une habitante, incarnée par Catherine Deneuve. Entre dérapages et inquiétudes, tous deux forment un tandem maladroit, drolatique et solidaire qui les aidera, peut-être, à traverser cette mauvaise passe.
Retrouvez l'intégralité de l'interview dans le magazine Première du mois d'avril
Dans la cour, en salles le 23 avril
A la question : "Quel film vous tombe des yeux avant la fin ?", Gustave Kervern répond : "Par respect pour les auteurs, normalement, je me fais un devoir d'aller jusqu'au bout. Mais je ne sais pas pourquoi, je n'ai jamais pu voir La Strada en entier. Plus récemment, c'est Guillaume et les garçons à table ! [sic - petite inversion du véritable titre] que je n'ai pas regardé jusqu'à la fin. Je n'ai pas trouvé ça bon."
Tout le monde ne dit pas "I Love You" à Guillaume Gallienne, mais il faut dire que le sacre que l'acteur et réalisateur a reçu à la dernière cérémonie des César a été suffisamment brillant pour que certains aient la possibilité de dire que ce film ne les a pas touchés en plein coeur, sans traumatiser l'artiste Gallienne pour autant.
Révélé par la maison "Groland" de Canal+, Gustave Kervern s'est fait un nom à travers ses réalisations qui font des portraits tendres, drôles mais aussi parfois douloureux des marginaux et des laissés-pour-compte de la société : Aaltra, Avida, Louise-Michel, Mammuth et Le Grand Soir. Il revient avec la casquette d'acteur cette fois pour Dans la cour de Pierre Salvadori. Le réalisateur des Apprentis le transforme en concierge qui se lie d'amitié avec une habitante, incarnée par Catherine Deneuve. Entre dérapages et inquiétudes, tous deux forment un tandem maladroit, drolatique et solidaire qui les aidera, peut-être, à traverser cette mauvaise passe.
Retrouvez l'intégralité de l'interview dans le magazine Première du mois d'avril
Dans la cour, en salles le 23 avril