Ce week-end, Linda de Suza est l'invitée d'honneur de Vivement dimanche. À ses côtés, de nombreuses personnalités comme Hervé Vilard, Sylvie Vartan et les artistes du spectacle musical Les 3 Mousquetaires. Mais un absent, et de taille : son fils unique, João ! Pourquoi ? Parce qu'ils ne se parlent plus...
Il y a un an, nos confrères de France Dimanche assistaient aux touchantes retrouvailles, après vingt ans de silence, de Linda de Suza et de son fils à Lisbonne, où il vit avec son épouse et leurs deux enfants, Michael (22 ans) et Gabriella (27 ans). Un an après, mère et fils sont de nouveau en froid. Il s'en explique : "Je n'ai plus aucun contact avec ma mère. La dernière fois qu'on s'est parlé au téléphone, elle m'a accusé, en hurlant, de lui avoir volé son argent." On connaît les grandes difficultés financières de la chanteuse, dont elle parle dans son dernier livre, Des larmes d'argent.
Nos retrouvailles ? Tout était faux !
João a su, bien sûr, que sa mère serait l'invitée de Michel Drucker, mais il confie que même s'il avait été convié, il ne serait pas venu. Quant à ces fameuses réconciliations l'année dernière, il estime avoir été trompé et utilisé par sa mère pour faire parler d'elle : "J'étais très content de la revoir, ma démarche était sincère (...) Je ne savais pas qu'il allait y avoir des journalistes avec nous. Je l'ai donc très mal pris." Mais par respect pour elle, il ne tourne pas les talons. "J'ai quand même fait un effort. Et je le regrette aujourd'hui, car tout était faux. Ses larmes n'étaient pas sincères. Même lorsque nous sommes tombés dans les bras l'un de l'autre, j'ai senti une froideur de sa part." Pour João, sa mère est tout simplement "malade" et coutumière des "pétages de plomb" sans raison.
Il se défend cependant d'être dur envers elle. Il confie être très triste de la situation et que ses enfants, qui ne sont pas attachés à leur grand-mère, "souffrent" de le voir ainsi. Selon lui, Linda de Suza n'a jamais accepté sa belle-fille : "Elle n'a jamais supporté que je tombe amoureux de la mère de mes enfants, explique João. Dans sa bouche, mon épouse est 'la plus grande pute du monde'. Je suis d'ailleurs certain que si je l'appelle pour lui dire que je divorce, elle m'ouvrira de nouveau grand les bras." Mais à force d'être "utilisé" et malgré de tendre souvenirs d'adolescence, João préfère garder ses distances : "J'en ai marre de prendre des coups..."
France Dimanche, en kiosque le 4 décembre 2015.