Depuis de nombreuses années, Mamadou Sakho partage sa vie avec Majda Sakho, sa femme. En marge de sa participation à l'émission Championnes, familles de footballeurs (TFX) où elle partage un peu de son intimité avec les téléspectateurs, la jolie brune, maman de trois enfants nés de ses amours avec le sportif, accorde une interview exclusive à Purepeople.com. L'occasion pour elle de se livrer sur sa relation de couple avec sa moitié, qu'elle surnomme Mamad, et notamment sur leur côté pudique.
Avec Mamadou Sakho, vous semblez pudiques à l'écran... Pas de marque d'affection comme des bisous ou autre. Est-ce un choix ?
On est tous les deux musulmans, ce n'est un secret pour personne. J'ai encore la chance d'avoir des parents ensemble mais je ne les ai jamais vus s'embrasser devant moi. J'ai grandi avec cette pudeur, Mamad aussi. Pour nous, l'amour ne se transmet pas par des "je te touche, tu me touches", mais par des actes. Se soutenir, être un peu ton psychologue, ton épaule... C'est dans ces vrais moments de vie que tu sais. C'est aussi mon côté réservé, je suis comme ça. Je ne suis pas expressive, Mamad non plus et c'est pour ça qu'on s'entend bien aussi. Je préfère quelqu'un comme ça que quelqu'un qui te fait un câlin mais qui n'est pas là quand il le faut. On n'est pas démonstratifs mais on a le coeur qui bat.
Être mère de trois enfants avec un mari très pris par son travail, c'est comment ?
Je pense que ce serait manquer de respect à beaucoup de femmes de se plaindre. Je sais qu'il y en a beaucoup qui se trouvent dans la même situation que moi, je ne suis pas un cas isolé. Comme tout le monde, je m'accommode de la situation.
Qu'est-ce qui a été le plus dur dans votre relation ?
C'est d'expliquer aux enfants pourquoi papa n'est pas forcément là. Quand c'est le jour de l'an, ton anniversaire et qu'il ne peut pas aller te chercher à l'école... C'est dur de gérer leurs émotions et leur tristesse. Mes filles ne comprennent pas toujours. Je leur dis de voir le verre à moitié plein. Même si c'est dur de ne pas voir leur père, je considère qu'elles n'ont pas à se plaindre.
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