Début octobre, Mallaury Nataf a été découverte en compagnie de son fils Shiloh (3 ans), en train de dormir dans la rue. Sa précarité, révélée en février, a alors de nouveau été mise en lumière, et les pires scénarios étaient envisageables. Après une semaine de silence, Mallaury Nataf, qui a de nouveau perdu la garde de son fils, avait pris la parole pour crier sa douleur de l'avoir perdu une nouvelle fois pour clamer sa détermination à le récupérer et aussi pour critiquer les services sociaux français. Aujourd'hui, elle s'est exprimée dans Le Parisien, et l'ancienne star du Miel et les Abeilles donne des nouvelles rassurantes : elle a trouvé un travail.
Elle assure en effet avoir "trouvé du travail et commencer un CDI cette semaine". On n'en saura pas plus. Si les rumeurs veulent que l'ex-star envisage d'écrire une autobiographie, elle répond : "Je le dirai en temps voulu... Il faut juste que je fasse rentrer de l'argent." Mallaury Nataf a également pour projet de monter une association, les Maisons du coeur, pour aider les autres. Car Mallaury Nataf est en colère contre les services sociaux : "C'est gravissime, criminel, car il y a de plus en plus de familles dans la rue. J'en appelle à la solidarité nationale."
Elle évoque également d'autres projets... plus improbables et surtout irréalisables (du moins à l'heure actuelle) : "Je vais aussi lancer une ligne de lingerie et j'ai un projet de petit véhicule électrique, car l'essence est très chère. J'ai ma vision et cela va être spécial, comme toujours avec moi." Quid de sa situation précaire ? Après 74 jours dans la rue, Mallaury Nataf a passé quelques jours dans un appartement prêté par Marie Magrino, de l'association Pause Café. Encore une fois, la comédienne donne une bonne nouvelle : "Une famille va me prêter un appartement."
Le Parisien revient également sur ce qui l'a poussée à quitter l'appartement de son compagnon Abraham, le 29 juillet. Mallaury Nataf parle "d'un nouveau coup du sort". Et lorsqu'on lui demande si elle a véritablement déposé plainte pour violences contre son ex-compagnon, injoignable, elle se raidit mais répond : "Cela ne vous regarde pas, c'est de la sphère privée, intime. Point barre."
Peut-on encore la croire ?