Marion Bartoli, malade : Un proche brise le silence, son virus en question...

Atteinte d'un virus inconnu qui lui pourrit la vie, Marion Bartoli a décidé de se soigner avec l'aide d'Henri Chenot au Palace Merano en Italie. Dans une chambre médicalisée, qu'elle aurait occupée du 12 au 19 juillet 2016, l'ancienne championne de tennis a essayé de reprendre du poids. Selon un proche, elle va déjà "mieux".

C'est à VSD que ce proche, anonyme, a donné des nouvelles de Marion Bartoli : "Marion va mieux. Elle a besoin de tranquillité. Elle a repris des forces et un peu de poids grâce, notamment, aux soins qu'on lui a prodigués à Merano."

Le magazine, en kiosques ce jeudi 28 juillet, publie des photos exclusives de celle qui remporta le tournoi de Wimbledon en 2013 avant de prendre une retraite surprise. On y voit Marion Bartoli devant un distributeur, à l'entrée de l'espace Henri Chenot du Palace Merano ou consultant son téléphone portable dans le parc de l'hôtel qui prodigue des soins coûteux, entre 3 500 et 5 000 euros la semaine.

Après ses révélations choc dans Paris Match, sur RTL et sur la chaîne anglaise ITV, à qui elle a parlé du mal mystérieux dont elle souffre, Marion Bartoli a fait une courte et fantomatique apparition au tournoi de Wimbledon à Londres, début juillet. Elle a ensuite choisi de rester en contact avec ses admirateurs grâce à Instagram, postant plusieurs photos et une vidéo la montrant "hospitalisée". Sur la dernière photo postée, il y a six jours, elle affiche des traits fatigués et une sonde nasogastrique (un tube inséré par le nez). En légende, elle se voulait rassurante : "Même si aujourd'hui les médecins m'ont mis un nouvel ami dans le nez, je continue de me battre et n'abandonnerai jamais." Elle expliquait également qu'elle reviendrait fin août pour commenter l'US Open sur Eurosport.

VSD se montre suspicieux envers la jeune femme et la manière dont elle médiatise son mal. Nos confrères terminent cependant leur papier en posant la question que tout le monde se pose : "Quel virus ? Mystère. Alors, en attendant de l'identifier, autant organiser la communication."