Jeunes parents d'un petit garçon, Marta Ortega, charmante héritière de l'empire Inditex qui comprend la marque à succès Zara, et Sergio Alvarez Moya, chef de file de la nouvelle génération de cavaliers espagnols, semblent avoir trouvé la formule pour que bébé ne grandisse pas sans son papa et que ce dernier ne souffre pas trop d'être privé de son fils : quand il y a jumping, c'est en famille !
Maternité oblige, Marta Ortega, âgée de 30 ans, renonce pour le moment à sa carrière hippique. Mais Sergio Alvarez Moya, actuellement 16e mondial de saut d'obstacles au classement Longines, concourt pour deux. Alors, pour éviter les trop nombreuses séparations qu'impliqueraient le calendrier du sport hippique et les déplacements internationaux du cavalier de 28 ans, l'ancienne championne d'Europe junior (titre décroché en 2001) suit autant qu'elle le peut son Sergio, avec leur petit garçon, Amancio Jr., né en mars 2013, fruit de leur mariage célébré un an plus tôt.
Un mois après le Jumping de Gijon, c'est à celui de Barcelone, dont la jeune femme était jusqu'à l'an dernier une compétitrice habituelle, que la famille était réunie, au Real Club de Polo. Jeudi 26 septembre, Marta Ortega, en total look black, était aperçue avec bébé dans les bras, et occasionnellement en compagnie du jeune papa, quand celui-ci n'était pas en train de monter ou de préparer son épreuve. Et rebelote le lendemain, vendredi 27, où le trio a notamment été ensemble dans les tribunes VIP. Sergio Alavrez Moya a ainsi pu profiter de moments de complicité avec son petit garçon, et d'autres avec son épouse. De la tendresse à volonté. Adorable, le petit bonhomme grandit en partie aux abords des parcours équestres, et il ne fait aucun doute qu'il héritera très vite de la passion que partagent ses parents.
Sans doute les jeunes parents ont-ils une fois encore croisé leurs amis et rivaux Athina Onassis et Alvaro de Miranda Neto, également très en vue lors du rendez-vous catalan après s'être affichés toujours aussi épris l'un de l'autre à Gijon. L'héritière de l'armateur grec Aristotle Onassis et le cavalier brésilien, qui pointe au 21e rang mondial, ont une fois encore laissé paraître leur indéniable symbiose en marge des épreuves. Dimanche, coquette tout en blanc et en T-Shirt fantaisie, loin de sa panoplie usuelle, Athina était rayonnante, tant auprès de son bien-aimé que dans les gradins, en train de l'encourager et de l'applaudir lorsqu'il s'adjugea vendredi, sur Ad Norson, le Estrella Damm Trophy doté de plus de 7 000 euros. Au point qu'on se demande quand, à leur tour et au bout de dix ans d'amour, ils fonderont une famille...
Le clou du spectacle de cette 102e édition du Jumping de Barcelone, auquel a également pris part Cayetano Martinez de Irujo, fils de la duchesse d'Albe, a sans conteste été la finale de la Coupe des Nations Furusiyya, remportée par la France. L'équipe emmenée par l'excellent Patrice Delaveau a reçu son trophée des mains de la princesse Haya de Jordanie, présidente de la Fédération équestre internationale (FEI), simplement vêtue d'un top blanc sous son blazer officiel, et en présence de l'ancienne tenniswoman Conchita Martinez et du pilote moto Alex Crivillé. Doda Miranda et le Brésil ont pris la deuxième place, d'où, à nouveau, le sourire éclatant d'Athina auprès de son époux.