Non seulement Meghan Markle songerait à faire carrière en politique, mais elle se verrait même carrément présidente des États-Unis ! C'est en tout cas ce qu'a récemment affirmé un "ami proche" à l'édition américaine du magazine Vanity Fair, le 24 septembre 2020. Des ambitions politiques qui trotteraient dans la tête de la duchesse de Sussex depuis déjà un certain temps.
"L'une des raisons pour lesquelles elle était si attachée à sa nationalité américaine était pour avoir l'option d'entrer en politique, a expliqué la source du magazine. Je pense que si Meghan et Harry finissent par abandonner leurs titres un jour, elle envisagerait sérieusement de se présenter à la présidence." Lors de son mariage avec le prince Harry en 2018, l'ex-actrice a conservé son passeport américain et entamé une procédure au Royaume-Uni pour acquérir la double nationalité. Des démarches qu'elle a abandonnées avec le Megxit.
Un projet de carrière confirmé par Omid Scobie, l'auteur de la récente biographie consacrée aux Sussex et au Megxit, Finding Freedom : "Elle a les yeux rivés sur la présidence américaine, avait-il affirmé dans un documentaire pour la chaîne True Royalty, diffusé en 2019. Meghan incarne le rêve américain. Un jour, on pourrait voir Meghan devenir présidente." Peut-être en 2024, avec le soutien de son amie Michelle Obama ? Pourtant, un collaborateur de la duchesse a nié toute intention politique auprès de Vanity Fair : "Bien qu'il soit indéniable qu'elle s'intéresse et s'engage dans la politique en tant que sujet, elle n'a aucune ambition de se lancer elle-même dans une carrière politique", a commenté une source "bien renseignée". Pour l'heure, les Sussex se consacrent à leur nouveau contrat de producteurs pour Netflix, annoncé plus tôt ce mois-ci.
En attendant de voir si Meghan Markle se lance oui ou non en politique, l'épouse du prince Harry est assurément impliquée dans les prochaines élections présidentielles américaines qui se tiendront le 3 novembre. À peine avait-elle officiellement quitté la monarchie britannique et regagné son pays natal en mars dernier, qu'elle s'est empressée de renouer avec son activisme politique et ses interventions engagées. Après avoir souffert du devoir de neutralité que lui imposait le protocole royal, la duchesse de Sussex savoure cette liberté de parole retrouvée en multipliant les discours en visioconférence, depuis chez elle, dans sa nouvelle villa de Santa Barbara.
Pendant le confinement et tout au long de l'été, la maman du petit Archie (1 an) s'est exprimée à plusieurs reprises, aussi bien pour soutenir le mouvement Black Lives Matter que pour encourager ses concitoyens à voter pour leur prochain président. Si l'Américaine de 39 ans n'a jamais clairement affirmé son intention de vote, elle a appelé au changement, sous-entendant ainsi qu'elle soutenait le démocrate Joe Biden, l'adversaire de l'actuel président Donald Trump. Mercredi, ce dernier a d'ailleurs réagi lors d'un point presse à la Maison Blanche en lançant une nouvelle pique à Meghan Markle : "Je ne suis pas un de ses fans. Je dirais ceci, et elle l'a probablement déjà entendu, je souhaite beaucoup de chance à Harry, parce qu'il va en avoir besoin."