Le 2 septembre 2024, Yann Barthès et son équipe de Quotidien ont fait leur rentrée sur TMC. Ainsi, chaque jour de la semaine, les téléspectateurs auront de nouveau le plaisir de suivre le programme qui traite de l'actualité. Le 4 septembre, le présentateur de 49 ans a notamment reçu l'ancien président de la République François Hollande. Et ce dernier a évoqué son épouse Julie Gayet.
Ambre Chalumeau était présente dans l'émission pour évoquer la Mostra de Venise dans sa chronique culturelle. "Ca va vous intéresser monsieur Hollande", a lancé Yann Barthès. Une affirmation qu'il s'est permise de faire car rappelons que Julie Gayet (51 ans) est, en plus d'être réalisatrice et productrice, actrice. "Cette année, à Venise, la Mostra brille notamment par les femmes. Par les actrices monumentales qui foulent son tapis rouge. Je voudrais que l'on regarde certaines d'entre elles et qu'à chaque fois on ait en tête une information qu'on a longtemps cherché à cacher : leur âge. Cette année à la Mostra, il y a une profusion d'actrices qui ont 50, 60, 70 ans et qui sont plus actuelles que jamais", a déclaré la chroniqueuse. Elle a ensuite évoqué la présidente du jury Isabelle Huppert (71 ans), Sigourney Weaver (74 ans) ou encore Angelina Jolie (49 ans).
Puis, Ambre Chalumeau a évoqué le documentaire Sharon Stone, l'instinct de survie, de Nathalie Labarthe, qui sera prochainement diffusé sur Arte. "Avec une voix que vous connaissez je crois François Hollande", a-t-elle précisé. En effet, la voix off est celle... de Julie Gayet. "Je l'avais reconnue. Je ne le savais pas, elle ne me dit rien, mais...", a-t-il avoué.
Il a ensuite été interrogé sur la position de son épouse concernant la question de l'âge des actrices. Une opinion qui a changé son regard de spectateur. "Elle m'a fait comprendre combien il y avait une injustice, une inégalité, entre les acteurs et les actrices. Un acteur de 50 ans est à la plénitude de sa carrière. On peut même penser qu'il a dix ou quinze ans devant lui. Ils n'ont pas d'âges les acteurs. Et pour les actrices, c'est comme s'il y avait une limite. A 50 ans, pour des raisons physiologiques et pour des raisons de cinéma on arrêtait. (...) Comme si on jouait des rôles où la sensualité où le corps, où la beauté pouvaient être exaltés. C'est ça la vraie injustice. Elle me l'a montré assez vite", a-t-il conclu. Fort heureusement, les mentalités changent peu à peu.