Ce mercredi 28 juillet 2021, un communiqué officiel du ministère de l'Économie a rapporté que Nabilla avait été contrainte de payer une amende de 20 000 euros pour "pratiques commerciales trompeuses sur les réseaux sociaux". La jolie brune de 29 ans a été épinglée pour des stories Snapchat datant de 2018 à travers lesquelles elle faisait la promotion de services boursiers, sans reconnaître être rémunérée pour cela. Alors que l'affaire fait réagir beaucoup d'internautes sur Twitter, Nabilla a pris la parole sur Snapchat pour s'expliquer.
"C'est vrai que j'ai accepté de mon plein gré de payer une amende de 20 000 euros, tout simplement parce qu'il y a quatre ans maintenant j'avais fait un post sur le bitcoin, parce que je crois à fond à la cryptomonnaie et j'avais dit que c'était une valeur sûre. Or dans le trading et la bourse, rien n'est vraiment sûr. Donc je m'étais fait réprimander pour cela, chose que j'ai comprise par la suite", a-t-elle déclaré.
Je n'ai aucun problème avec ça
Nabilla reconnaît donc ses torts et va même plus loin en félicitant le gouvernement pour sa sanction : "Je trouve ça vraiment très bien que le gouvernement mette en place des règles, qu'il mette les bouchées double, qu'il mette en place des structures, des lois, des règles pour ce nouveau métier qu'est l'influence parce qu'aujourd'hui c'est un vrai métier, comme Youtubeur, TikTokeur, n'en déplaise à certains. Et comme tous les métiers, ça doit être cadré et réglementé, c'est quelque chose que je peux concevoir, je n'ai aucun problème avec ça. (...) Au contraire, je suis en total accord et je suis même très contente que ça se régularise petit à petit, qu'on puisse avoir des vraies règles, qu'on puisse savoir nous aussi les influenceurs où on va".
Nabilla a par la suite partagé un court message sur Twitter, espérant ainsi servir de modèle. "Je ne suis pas au-dessus des lois et j'assume les conséquences de mes actes. Ce métier est nouveau et nous n'avons toujours pas de règlementation stricte. J'espère que cet accord permettra d'éveiller les consciences et la nécessité d'encadrer notre activité."
Pour conclure, la maman de Milann (bientôt 2 ans) a même interpellé le ministre de l'Économie, Bruno Le Maire, afin de lui proposer un rendez-vous. "Monsieur Le Ministre, je suis a votre disposition pour échanger et avancer ensemble !", lui a-t-elle adressé. On attend sa réponse !