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L'histoire belge de Nicolas Anelka tient son nouveau chapitre. Alors que Le Parisien révélait récemment qu'il avait racheté un obscur club de quatrième division en Belgique, l'ex-enfant terrible des Bleus a tenu à apporter quelques précisions. Dans le quotidien francilien, l'attaquant de 36 ans dément ainsi être le nouveau patron du club...
Nicolas Anelka n'a donc pas fini de nous surprendre. Dans Le Parisien, l'ex-star d'Arsenal et de Chelsea assure n'être que "président honorifique" du Royal Géants Athois, club pensionnaire de la ville d'Ath, en 4e division. L'ancien joueur des Bleus aurait été "contacté par un fonds d'investissement, ou un groupe, ou une personne en particulier, appelez-le comme vous voulez", durant l'été.
"Intéressée" pour acheter le club, cette personne l'aurait alors "nommé président à titre honorifique", lui demandant également de "composer une équipe de jeunes joueurs français, belges et d'autres nationalités". "Je l'ai fait, c'est pour quoi vous m'avez aperçu sur les terrains", justifie le joueur formé au PSG.
Mais le feuilleton pourrait connaître un nouveau rebondissement. Interrogé par Le Parisien, un membre de l'ancienne direction de RGA donne une tout autre version de Nicolas Anelka, toujours entraîneur-joueur de Mumbai City en Inde. "Nicolas Anelka a mené toutes les négociations de rachat du matricule du RGA pendant tout l'été. Il a donné l'impression de tout décider. Et sa signature est apposée, avec celle de deux autres personnes, au bas du contrat ! Dire qu'il est là à titre honorifique, c'est une vaste blague", a-t-il dit.
Dans Le Parisien, on apprenait fin septembre que Nicolas Anelka devait prendre la direction du Royal Géants Athois avant d'en devenir le coach en janvier 2016. Toujours d'après le quotidien, l'ex-attaquant, devait éponger les dettes de la structure, estimées à 320 000 euros, et avait déjà exigé le départ des anciens dirigeants. Nicolas Anelka logeait même une partie des joueurs dans une immense demeure divisée en plusieurs appartements qu'il payait de sa poche tandis que les parents de son épouse Barbara, originaire de Charleroi, nourriraient même régulièrement la troupe.