Quelques mois seulement après leur incroyable mariage, entourés de tous leurs amis et proches, Nikola Lozina et Laura Lempika ont annoncé leur rupture. C'était au mois de janvier et, à ce moment-là, ils expliquaient qu'il s'agissait du résultat d'une "décision réfléchie et mutuelle, dans une entente respectueuse". C'est d'ailleurs dans cette même idée qu'ils se partagent désormais la garde de Zlatan, leur fils de deux ans. Mais tout n'est pas si simple depuis que Nikola Lozina a décidé de retourner vivre en Belgique, d'où il est originaire. Laura Lempika, elle, est restée à Dubaï avec leur fils.
Pour la première fois depuis la séparation, le jeune Zlatan a néanmoins rendu visite à son papa où ils ont passé ensemble deux parfaites semaines. Mais l'heure des aurevoirs a déjà bientôt sonné et, rien que d'y penser est un déchirement pour le candidat de télé-réalité. Ce mercredi 4 avril, il a partagé son désarroi dans une vidéo postée sur son compte Snapchat où il apparaît en larmes. "Je n'aime pas pleurer sur les réseaux comme ça, pour faire la victime, mais je pense que ça fera peut-être du bien de dire ce que je ressens. Depuis hier, ça ne va pas du tout, plus les minutes défilent et plus je vais devoir aller vite rendre mon enfant à sa maman, c'est normal, mais je vais devoir me reséparer de lui... J'ai bien aimé avoir ces moments en Belgique avec lui, ça m'a fait plaisir", a-t-il déclaré.
45 minutes que je suis en train de pleurer sur un parking
En souffrance, Nikola Lozina explique ensuite se demander s'il ne devrait pas revivre à Dubaï afin de voir plus souvent son enfant. "Moi, je serais malheureux mais au moins je le verrais. Si vous saviez comme j'ai mal à l'intérieur de moi, c'est horrible", a-t-il ajouté depuis sa voiture, dans l'incapacité de bouger. "Ça fait 45 minutes que je suis en train de pleurer sur un parking, je ne sais même pas où je suis. C'est dur, très dur", a-t-il conclu.
Un peu plus tard, Nikola Lozina a posté un message pour exprimer encore une fois sa grande peine : "Je craque totalement... Autant ces trois premiers mois, je suis resté fort mais là, le fait de l'avoir eu deux semaines pleines chez moi, je me suis trop habitué à nos moments, ici en Belgique. Je ne sais pas comment je vais revenir en le ramenant à Dubaï. J'ai mal mais je vais devoir vivre avec. De toute façon, je n'ai pas le choix. J'ai décidé de partir de là-bas, je savais les conséquences. J'aurais aimé que tout soit plus simple. Mais dans ma putain de vie, je complique toujours les choses".