Cette année 2024 n’a pas dérogé à la règle pour la famille royale britannique. En dépit de l’année difficile écoulée, notamment en raison des cancers qui ont touché Kate Middleton et le roi Charles III, les retrouvailles des membres de la couronne n’ont pas été annulées. Tous les membres du clan Windsor, à l’exception de Meghan Markle et du prince Harry, se sont retrouvés à Sandringham pour assister à la traditionnelle messe où toute la famille se donne rendez-vous le 25 décembre.
Et ça en fait du monde : outre la reine et le roi, Kate Middleton, le prince William et leurs trois enfants George, Charlotte et Louis, Zara, Mike Tindall et leurs enfants, Sophie et Edward de Wessex et leur progéniture ainsi que la princesse Anne ou encore Beatrice d'York, enceinte, étaient par exemple de la partie pour Noël cette année.
Mais qui dit traditionnel ne dit pas tout le monde chez lui une fois l’office religieux terminé. Pour profiter pleinement de ses retrouvailles, tout le monde se rejoint à Sandringham House où il est hébergé, un manoir du Norfolk anglais appartenant à la famille royale. Mais contrairement à ce que l’on pourrait croire, le luxe et la modernité ne sont pas vraiment au rendez-vous.
La spécialiste en royauté Rebecca English, journaliste pour le Daily Mail, révèle d'importants détails concernant l’état du lieu où tout le monde est domicilié le temps des célébrations de Noël. Si la maison est suffisamment grande pour accueillir tous les membres de la Couronne, la décoration et l’ameublement ne sont pas vraiment dernier cri.
Comme l’affirme la journaliste, les lits proposés n’ont rien à voir avec les matelas douillets et confortables que l’on pourrait trouver en hôtellerie. Il s’agirait de “lits à l’ancienne avec des sommiers très grinçants”. Une réalité qu’on ne s’imaginait pas vraiment. Mais qu’importe le confort, l’important pour la famille royale britannique est d’être réunie au même endroit et au même moment pour passer des fêtes dans la meilleure des ambiances. “C’est une immense famille qui ouvre les cadeaux ensemble, plein de choses comme ça”, affirme un autre journaliste. Tout ce qu’il y a de plus normal en somme.