C'est l'événement du printemps à ne pas louper à Los Angeles. Chaque année, hors période de pandémie bien sûr, le festival Coachella ouvre ses portes dans la province d'Indio en Californie. Plusieurs artistes, dont la Belge Angèle, se réunissent pour faire vibrer les nombreux spectateurs ayant eu la chance de décrocher leur ticket pour le festival. De nombreux français sont prêts à casser la tirelire pour voir leurs artistes préférés sur scène. Certains n'ont même pas à traverser l'océan pour passer les portes.
Selly, Sabah, Tidiane, Alhadji, les quatre aînés d'Omar et Hélène Sy, n'ont en tout cas pas eu besoin d'un billet d'avion. Installés à Los Angeles avec leurs parents depuis plusieurs années, les plus grands n'ont eu qu'à prendre la voiture pour se rendre à l'événement. On ignore si papa était de la partie mais maman était bien présente. La femme d'Omar Sy a pris soin d'immortaliser elle-même ses quatre enfants tendrement lovés dans un canapé, en train de se faire des câlins. Le cliché a immédiatement été posté dans sa story Instagram (voir notre diaporama), à renfort de gros coeurs rouges. Il y a fort à parier que la petite dernière de la famille Amani-Nour, née en 2017, soit restée sagement à la maison avec son célèbre papa pour laisser profiter les grands d'un tel moment qu'elle aura peut-être elle aussi l'occasion de vivre d'ici quelques années !
Je fais pareil avec mes enfants
S'il n'est pas du genre à évoquer sa vie de famille et ses 5 enfants à tout bout de champ, Omar Sy accepte parfois de se livrer sur sa tribu et l'éducation que lui et son épouse Hélène leur donnent. Installé aux Etats-Unis, il tente tant bien que mal de ne pas leur faire oublier le français qu'ils ont acquis. Mais ce qui importe le plus pour lui, c'est de leur faire prendre conscience du collectif et de conserver les relations qu'il entretient avec chacun : "Une fois qu'on a tracé sa route, qu'on s'est plantés quelque part, c'est plus facile d'accepter l'idée qu'on appartient à un groupe. Et que c'est mieux comme ça. C'est petit, un individu. Tout seul, on ne fait pas grand-chose. Le collectif permet des choses plus grandes que nous, qui peuvent rester, après nous. Quoi ? Je ne sais pas. Je me suis laissé la porte ouverte à l'extraordinaire, je fais pareil avec mes enfants" racontait-il dans Psychologies Magazine. Avec une telle brochette d'enfants, Omar Sy peut se rassurer. Ils ne seront jamais seuls et ne devraient donc logiquement ne jamais jurer que par eux-mêmes...