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Comme tous les samedis soirs, Laurent Ruquier présentait ce samedi 7 avril un nouveau numéro d'On n'est pas couché sur France 2. Outre Chimène Badi et sa vilaine chute dans les escaliers, l'animateur recevait l'un des fidèles chroniqueurs de ses émissions en la personne de Christophe Alévêque, et l'écrivain André Bercoff, qui publie le livre Que choisir ? en dressant le portrait des candidats à la présidentielle 2012.
Le ton entre les deux invités est monté, tout en restant teinté d'humour du début à la fin, quand l'humoriste a rappelé à l'auteur que la politique capitaliste nous envoyait "dans le mur". Une théorie totalement réfutée par le journaliste qui estime que "ce sont des slogans, des formules du café du commerce".
A en croire Alévêque, venu parler de son spectacle Christophe Alévêque est Super Rebelle, qui se jouera au théâtre du Rond-Point du 11 avril au 6 mai 2012, Bercoff estime que les notions de fraternité et d'égalité sont totalement old-school. Le principal intéressé nie en bloc. Selon lui, le débat n'est pas là : il n'y a rien à partager, donc comment mettre en place une politique égalitaire ?
Rapidement, de gentils tacles s'invitent à la discussion : sur le ton de la plaisanterie, André Bercoff lance "crétin !", "qu'il est con !" ou encore "quel connard ce type !". De son côté, Christophe Alévêque réplique : "ça m'étonne pas qu'il ait participé à certains bouquins !", avant de promettre que s'il était élu président, il majorerait l'impôt sur le revenu payé par André Bercoff de 25% supplémentaires ! Personne d'autre, juste le seul et unique André Bercoff !
En plateau, l'ambiance est bonne, le public rit généreusement, et Laurent Ruquier en redemande. Dans une émission connue pour ses clashes fréquents, cet échange bon enfant apporte une peu de légèreté. Une séquence à découvrir dans notre lecteur vidéo dès à présent.
Côté audience, Laurent Ruquier a réalisé un score dans sa moyenne de la saison, avec 1 500 000 téléspectateurs.
Joachim Ohnona
Le ton entre les deux invités est monté, tout en restant teinté d'humour du début à la fin, quand l'humoriste a rappelé à l'auteur que la politique capitaliste nous envoyait "dans le mur". Une théorie totalement réfutée par le journaliste qui estime que "ce sont des slogans, des formules du café du commerce".
A en croire Alévêque, venu parler de son spectacle Christophe Alévêque est Super Rebelle, qui se jouera au théâtre du Rond-Point du 11 avril au 6 mai 2012, Bercoff estime que les notions de fraternité et d'égalité sont totalement old-school. Le principal intéressé nie en bloc. Selon lui, le débat n'est pas là : il n'y a rien à partager, donc comment mettre en place une politique égalitaire ?
Rapidement, de gentils tacles s'invitent à la discussion : sur le ton de la plaisanterie, André Bercoff lance "crétin !", "qu'il est con !" ou encore "quel connard ce type !". De son côté, Christophe Alévêque réplique : "ça m'étonne pas qu'il ait participé à certains bouquins !", avant de promettre que s'il était élu président, il majorerait l'impôt sur le revenu payé par André Bercoff de 25% supplémentaires ! Personne d'autre, juste le seul et unique André Bercoff !
En plateau, l'ambiance est bonne, le public rit généreusement, et Laurent Ruquier en redemande. Dans une émission connue pour ses clashes fréquents, cet échange bon enfant apporte une peu de légèreté. Une séquence à découvrir dans notre lecteur vidéo dès à présent.
Côté audience, Laurent Ruquier a réalisé un score dans sa moyenne de la saison, avec 1 500 000 téléspectateurs.
Joachim Ohnona