Amoureuse de New York, Pauline Ducruet le sera – c'est certain – toute sa vie. Mais pour ce qui est de son histoire avec la Parsons School of Design, le point final a été mis !
Après deux années d'études et de créativité au sein du prestigieux établissement situé en plein coeur de Manhattan, la fille de la princesse Stéphanie de Monaco va maintenant voguer vers de nouvelles aventures : "ET VOILA !! Au revoir à l'école où j'ai passé jours et nuits pendant plus de deux ans. Aujourd'hui, c'est le premier jour du reste de ma vie !! FINI", a-t-elle écrit sur Instagram dans la soirée du 18 décembre 2017 en légende d'une photo de la façade de cette institution de la mode et du design, sortant le champagne et brandissant les poings en émoticônes. "La fin d'une ère", "le début d'une autre" et "diplômée", lit-on également en hashtags.
En début d'année 2017, Pauline Ducruet avait fait l'état des lieux de son cursus à l'occasion d'un grand entretien accordé à l'hebdomadaire Point de vue : "Au départ, relatait-elle alors, je suis partie faire un stage de six mois chez Vogue [en guise de cadeau de départ, elle a même eu le droit d'en faire la couverture – enfin en quelque sorte, NDLR]. J'avais terminé mon cursus à l'Institut Marangoni, à Paris, travaillé six mois chez Vuitton. Je souhaitais construire mon CV, acquérir davantage d'expérience, de crédibilité, mais mon emménagement à New York ne devait être que provisoire. Et puis je suis tombée amoureuse de cette ville et j'ai décidé d'y rester. J'ai repris mes études et tenté ma chance à la Parsons School, une école de mode et de design réputée, où j'ai été acceptée." Elle parlait déjà, à l'époque, de son espoir de lancer sa "propre ligne de vêtements", ambition qui s'est depuis concrétisée, avec la conviction que "la mode est une façon de se révéler au monde, de montrer qui l'on est".
Quelle sera la prochaine étape ? Pour l'instant, l'intéressée, âgée de 23 ans, n'a encore rien indiqué, ni en termes de destination ni en matière d'activité professionnelle. Tout est possible, conformément à la maxime à laquelle elle se fie : "C'est ta vie, fais-en ce que tu souhaites profondément."
Il semble acquis que, bien que voyageuse dans l'âme, la Grosse Pomme restera essentielle. Le 1er décembre 2017, sur Instagram, elle faisait une énième déclaration d'amour à cette ville dans laquelle elle a pu "vivre sa vie" et "apprendre à se débrouiller seule", loin de la "bulle" pleine d'amour dans laquelle elle se sentait en principauté : "À New York, disait-elle précédemment à Point de vue, j'habite Downtown, dans le Village, j'y ai un quotidien de quartier, mes petites habitudes, les endroits que j'aime, mes restaurants, mes boutiques. Je continue le sport, beaucoup de fitness, de la boxe aussi, dans un petit club à côté de chez moi. Il y a des musées partout, toujours de nouvelles expositions, de nouveaux endroits à découvrir. L'énergie de cette ville est incroyable, on s'y sent libre, vivant. Et, pour l'instant en tout cas, je ne m'imagine pas autre part." Et Monaco, bien entendu, demeure sa patrie. "Le fait de m'éloigner m'a permis de comprendre que Monaco est et restera mon port d'attache. Le pays où je suis née est mon nid, ma maison, mon cocon, l'endroit où je viens me ressourcer", observait-elle au cours de la même conversation.
Ces jours-ci, c'est à Paris, une autre ville qui a jalonné sa scolarité, que Pauline Ducruet s'est signalée - avec sa chienne Mala. Après avoir publié le 10 décembre sur Instagram une photo d'elle en train de contempler la capitale depuis un point de vue en hauteur, elle a documenté en story son arrivée à l'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle ce mardi 19 décembre. Avant de rentrer sur le Rocher pour les fêtes ?