Le prince Harry se ferait-il des cheveux ? Critiqué de tous les côtés pour ses décisions parfois radicales, à l'instar de son retrait comme membre senior de la famille royale ou son grand déballage télévisuel contre la couronne, le fils de la regrettée Lady Diana est sans doute victime de stress et d'inquiétude. Ce qui n'aide inévitablement pas sa perte de cheveux, déjà bien entamée depuis quelques années.
Le 25 septembre 2021, le prince Harry pouvait être vu en compagnie de sa femme Meghan Markle sur la scène du Concert Global Citizens à Central Park, à New York ; évènement duquel ces défenseurs de l'écologie sont revenus en jet privé pour regagner leur maison de Californie. Et, tournant le dos au public pour quitter l'estrade, le rouquin affichait une calvitie très avancée. Le jeune homme est quasiment chauve sur une grande partie du crâne, ses cheveux s'effilochent également de plus en plus sur les côtés. Un look capillaire qui n'est pas sans rappeler celui de son frère aîné le prince William, qui n'a plus qu'une toison sur les côtés. Leur père le prince Charles conserve pourtant de son côté une chevelure encore assez fournie pour un homme âgé de 72 ans.
Le prince Harry, couronnée personnalité royale la plus sexy de l'année 2020 par le magazine People, ne reste toutefois pas les bras ballants face à cette situation. Comme l'affirmait le tabloïd britannique The Sun en février 2020, il aurait reçu un traitement d'épaissement des cheveux à la clinique Philip Kingsley Trichological, située dans le chic quartier de Mayfair à Londres. Il faut dire qu'il y avait matière à traiter puisque le tabloïd précisait que la perte de cheveux du prince avait doublé entre en mai 2018 et mai 2019, période de son mariage avec Meghan Markle. De son côté, le Mirror avait lui carrément diffusé une photo futuriste montrant Harry à 50 ans s'il ne faisait rien pour sa chevelure et cela la faisait alors énormément ressembler à William !
Reste à savoir si Archie (2 ans) souffrira comme son papa et son oncle des mêmes problèmes de calvitie en grandissant... D'ici là, les techniques auront sans doute encore évolué et les cliniques spécialisées auront fleuri aux quatre coins du monde.