Le prince William et son épouse, la duchesse de Cambridge, Kate Middleton, traversent actuellement quelques turbulences dans l'opinion publique. En effet, alors que le récent cadeau du futur héritier de la couronne pour ses 32 ans fait polémique (un hélicoptère de 10 millions d'euros loué par la reine pour l'usage de son petit-fils), c'est désormais le coût des travaux de rénovation de leur appartement qui est pointé du doigt. Il faut dire que la somme s'élève à presque 5 millions d'euros !
Après avoir vécu, un temps, à Clarence House (résidence officielle du prince Charles), ainsi que dans une ferme de la ville d'Anglesey, à proximité de la base de la RAF Valley (où officiait William), les époux royaux ont pris leurs quartiers à Kensington Palace. Leur seule et unique résidence officielle. Mais, après une année passée à vivre dans le désormais mythique appartement 1A, occupant ainsi les anciens appartements de feu la princesse Margaret (soeur d'Elizabeth II morte en 2002), le prince William et Kate Middleton ont décidé de lancer de grands travaux de rénovation. Alors que l'appartement avait déjà connu un premier lifting pour une somme estimée entre 1,1 et 1,5 million d'euros, voilà que de nouveaux travaux ont été lancés dont la somme est presque de 3,6 millions d'euros. Un montant total qui approche donc dangereusement les 5 millions et qui fait tousser certains sujets de Sa Majesté...
Pour désamorcer la bombe, alors que la couronne fait des efforts d'économies, le porte-parole de la monarchie a tenu à justifier ce montant par l'ampleur des travaux. Selon lui, la résidence, située dans une maison de quatre étages avec neuf salles de bain (dont une seule pour l'appartement 1A) et presque trente chambres au total (dont une nurserie pour le prince George, bientôt 1 an), nécessite la pose d'une nouvelle toiture, la révision du système électrique, le remplacement de la plomberie ainsi qu'un désamiantage. Il a également tenu à préciser que le couple avait payé de sa poche l'ameublement intérieur. Quant au loyer, il est à la charge du prince Charles.
Thomas Montet