Quand Charlene Wittstock révèle un souvenir très embarrassant avec Albert...

En quatre années passées au bras du prince Albert de Monaco, depuis l'officialisation de leur idylle lors de l'ouverture des Jeux Olympiques de Turin en 2006, Charlene Wittstock peut s'enorgueillir d'avoir su rester, avec une discrétion remarquablement étudiée, dans l'ombre de celui qui est l'un des dirigeants les plus médiatiques au monde, tout en l'illuminant de sa beauté, de son allure, de son aura.

Mais depuis que le souverain monégasque a, enfin, fait sa demande à sa belle et que la date de leurs noces, en partie accessibles au public, a été fixée - la cérémonie sera filmée en 3D par le réalisateur Jérome Revon et sera commentée par Stéphane Bern -, le feu des projecteurs se consume pour la belle nageuse sud-africaine et ne cesse de s'attiser en attendant le grand moment. Chacune de leurs sorties conjointes, peu fréquentes, est d'ailleurs l'objet d'une véritable effervescence, comme leur présence en juin dernier au mariage de Victoria et Daniel de Suède ou leur venue au récent gala caritatif du Ireland Fund of Monaco, fin octobre.

Et c'est en cover girl glacée et intense du magazine britannique Tatler qu'on la découvre, en mode beauté canonique, vêtue de blanc prénuptial... Photographiée à la façon des portraits officiels avec un zest - prononcé - de glamour en plus, Charlene Wittstock, 32 ans, s'ouvre en pages intérieures sur la façon dont elle envisage ses prochaines fonctions de princesse de Monaco.

Surtout, elle révèle un fort tempérament qui ne s'embarrasse pas toujours du même tact que ses apparitions discrètes l'auraient laissé présager : "Bien sûr, j'ai été objet de jalousie de la part des Monégasques, confie-t-elle. Cela vient du territoire. Et bien que j'aie rencontré des gens merveilleux depuis que je vis à Monaco, je ne les considère que comme des connaissances. Il n'y a que deux personnes que je considère comme des amies ici."

Comme si besoin était, elle détaille : "Les gens que j'ai côtoyés à Monaco n'ont pas grand-chose à voir avec ma mentalité et mon humour sud-africains."

Et si elle affiche déjà sa volonté de moderniser la Principauté en y faisant ouvrir une boutique de chaussures Manolo Blahnik (en plus d'un... Starbucks), Sa future Altesse Sérénissime a conservé un souvenir "mode" un peu embarrassant, qu'elle partage avec les lecteurs de Tatler, évoquant un Bal de la Croix Rouge auquel elle participait avec Albert de Monaco : "J'avais l'habitude de passer ma vie en maillot de bain, sans aucune connaissance en termes de mode. Le jour du bal, j'avais joué au volley et je ne m'étais pas souciée de me préparer avant tard dans la journée. J'ai emprunté à une amie sa robe verte, me suis coiffée moi-même et ai verni mes ongles en rouge. J'avais l'air d'un sapin de Noël". Il s'agissait du Bal de la Croix Rouge donné le 4 août 2006, son premier. Et le résultat n'était pas si catastrophique : nous vous avons retrouvé les photos, ci-dessus !

Quant à son impression de "sapin de Noël", de là vient peut-être sa présence pour l'édition du mois de décembre de Tatler.