Rihanna à Los Angeles, le 16 février 2014.© Abaca
Fidèle au grand train de vie qu'elle doit à son statut de son superstar, quand Rihanna se décide à sortir pour dîner au restaurant, elle ne fait pas les choses à moitié. En tout cas, question look, la belle Barbadienne de 25 ans n'a peur de rien et surtout pas de jouer avec son tempérament de diva divine. Ainsi pour se rendre, dimanche 16 février, chez Giorgio Baldi, l'un de ses italiens préférés à Los Angeles, la chanteuse n'a-t-elle pas hésité à se vêtir d'un somptueux (voire pompeux) peignoir que n'auraient pas boudé les plus majestueuses des impératrices.
Eh oui, quand généralement, le dimanche, le commun des mortels opte pour une tenue casual et relax, allant du jean-baskets au jogging-tongs, Rihanna elle, se glisse dans le costume digne d'une Cléopâtre des temps modernes et fait le show dans les avenues très prisées de la Cité des anges. Vêtue d'un body noir et d'une toge impériale associée à une touche de rouge à lèvres sombre pour le côté fatal-gothique, la chanteuse n'était visiblement pas décidée à faire dans la sobriété : difficile de ne pas remarquer cette superbe créature, personnage aussi mystérieux que resplendissant, se rendant, comme si de rien n'était, dans l'un des restaurants les plus prisés de la ville.
Et pour que le spectacle soit parfait, la star avait opté pour une coupe nettement inspirée du cultissime personnage d'Uma Thurman dans le non moins célèbre Pulp Fiction de Quentin Tarantino. Bref, si elle n'était pas sur un red carpet, c'était décidément tout comme. Du haut de ses 25 ans, Rihanna est de toute manière devenue une bête de mode et n'a de cesse d'enchaîner les looks à la fois originaux et pointus. Adoubée par les plus grands créateurs (dont Azzedine Alaïa), la star n'en est cependant pas pour autant à l'abri de fashion faux-pas : lors d'une soirée pré-Grammy du 25 janvier dernier, Ri-Ri est apparue dans une tenue pour le moins surprenante, inspirée vraisemblablement de nappes ou, pire, de torchons de cuisine. Mais bon, on lui pardonne, il faut bien traverser des bas pour connaître des hauts.
