N'en déplaise aux détracteurs, Salma Hayek aime le foot, et comme son mari François-Henri Pinault, elle aime et supporte le Stade Rennais – club que son époux possède. Elle en a d'ailleurs fait la promotion sur le plateau de Jimmy Kimmel.
La productrice et actrice de Septembers of Shiraz est en effet interrogée sur le fait que son chéri est propriétaire – via sa société Artémis – d'un club de foot. Mariée depuis 2009 au businessman français, l'actrice mexicaine a pu goûter à l'effervescence des stades de Ligue 1 et notamment celui de Rennes, le Roazhon Park.
Face à Jimmy Kimmel, la bomba latina va alors décrire comment elle vit le match et raconter l'ambiance qui y règne. "J'assiste à des matches en France avec mon mari et ce que j'ai découvert était une expérience... différente. Nous sommes dans ces espaces où les gens importants vont, comme Sarkozy ou Hollande... Je les rencontre tous dans cet espace. J'ai l'habitude d'aller voir des rencontres au Mexique, où on boit de la Corona et où tout le monde est fou. Là, ils sont tous assis comme ça, lâche-t-elle avec humour, imitant un personnage assise droite et figée, sans aucune expression. Les actions se déroulent et moi je suis toute excitée mais François me dit: 'Chérie, calme-toi, calme-toi'."
Hilarante, Salma Hayek continue en expliquant que tout part à vau-l'eau lorsque vient le but – qu'elle prononce "boute" avec un B, car comme elle le précise, avec un P ça ne signifie plus du tout la même chose. Et si certains VIP de sa tribune ne sont pas très expressifs, Salma, elle, est plutôt du genre à exploser de joie en mode "goaaaaaaaaaal". Le public et l'animateur ne pouvaient être qu'hilares devant la performance passionnée de la comédienne – et qui se vérifie via nos photos ci-dessus.
La star est tellement investie dans son rôle de supportrice qu'elle a même évoqué un souvenir mémorable pour elle, lorsque, le 17 novembre 2012, Rennes battait le PSG sur sa pelouse alors que les Bretons jouaient à 9 contre 11 suite à deux expulsions. La supportrice des rouges et noirs avait alors exulté au coup de sifflet de final, alors que les autres spectateurs (forcément parisiens) étaient dépités et tristes.