"J'ai divisé mes revenus par 4, je gagnais très bien ma vie sur TF1. J'avais mis un peu d'argent de côté, j'avais un peu anticipé, pour vivre mes rêves", avait déclaré Sandrine Quétier en octobre dernier lors d'une interview à Gala. Interviewée par Le Parisien, l'ex-animatrice que l'on retrouvera dans Camping paradis sur TF1 le 2 mars 2020 a une nouvelle fois évoqué ses revenus.
L'ex-animatrice de Danse avec les stars qui a fait ses adieux à TF1 fin 2017 incarne une chanteuse (ce qu'elle est dans la vie avec son groupe The Jokers) dans la célèbre série portée par Laurent Ournac. Une jolie opportunité pour celle qui a tout plaqué pour devenir comédienne.
Pour concrétiser son rêve, Sandrine Quétier – qui assure en tant que chanteuse les premières parties de l'artiste Jean-Baptiste Guégan, sosie vocal de Johnny Hallyday – n'a pas hésité à moins bien gagner sa vie. Des prestations qui lui rapportent des revenus trois moins importants qu'à l'époque où elle travaillait pour TF1. Depuis octobre, il y aurait donc du mieux !
Pour autant, elle qui continue d'avoir des offres pour présenter des jeux et divertissements décline ces opportunités. Elle souhaite plutôt tourner ou faire du théâtre. Un désir qui a été à l'origine de son envie d'arrêter de présenter des émissions. Mais voilà, pour le moment, ce qu'on lui a proposé ne lui a pas plu ou alors elle n'était pas libre. Déterminée, Sandrine Quétier est certaine que son souhait se réalisera, car "il n'est jamais trop tard".
Dans ce même entretien, Sandrine Quétier est revenue sur la cérémonie des César 2020 lors de laquelle Roman Polanski a été récompensé en tant que meilleur réalisateur pour son film J'accuse. "On vient de cracher à la gueule des victimes. Pour Adèle Haenel, c'est la négation de tout ce qui lui est arrivé. C'est hallucinant, une honte. J'aurais aimé être là pour quitter la salle avec elle", déclare-t-elle. Elle assure ensuite avoir refusé de se rendre à l'avant-première du film et avoir "encore moins envie d'aller le voir maintenant".
Si Sandrine Quétier n'a "jamais été [personnellement, NDLR] confrontée à du harcèlement ou à des violences sexuelles", elle a déjà "pris des mains au cul". "C'est triste, mais c'est la réalité", conclut-elle.