À l'heure où le plafond de verre empêche encore et toujours les femmes d'atteindre un niveau d'égalité total avec les hommes en entreprise (qu'il s'agisse de statut ou de salaire), il n'est donc pas inopportun de récompenser celles qui ont réussi à s'imposer. C'est ainsi que s'est tenue la première soirée de remise des "Prix de la Femme d'Influence 2014" à l'hôtel du Louvre, à Paris, le 8 décembre 2014. Une soirée au cours de laquelle on a pu voir Sophie Favier et Sandrine Quétier.
C'est en grande pompe que le club Génération Femmes d'Influence a donc organisé sa première soirée de remise de prix afin de récompenser des femmes de talents qui incarnent "des valeurs telles que l'audace, la responsabilité, la créativité, la conviction, la bienveillance et l'optimisme." Sous la responsabilité d'un jury très éclectique composé de personnalités telles que le footballeur Didier Drogba, la chanteuse au franc-parler Lio, l'ancienne patronne du Medef Laurence Parisot, l'ex-ministre UMP François Baroin ou encore le chef Alain Passard, trois femmes devaient être honorées dans les catégories économique, politique et coup de coeur.
Parmi les invités de cette soirée unique, on pouvait voir la sympathique co-animatrice de l'émission Danse avec les stars, Sandrine Quétier. Très souriante, la jeune femme a pu croiser une ancienne gloire télé, un temps reconvertie dans les affaires avec l'ouverture d'une boutique de vêtements avant de passer à autre chose, Sophie Favier. Les deux femmes n'ont pas manqué d'applaudir les heureuses gagnantes : Catherine Barba, fondatrice et présidente de CB Groupe (Prix de la Femme d'Influence Economique), Nathalie Loiseau, directrice de l'ENA (Prix de la Femme d'Influence Politique) et Zahia Ziouani, chef d'orchestre (Prix de la Femme d'Influence "Coup de Coeur").
À noter que deux prix Espoir ont aussi été décernés à Nathalie Balla, co-présidente de La Redoute (Prix Espoir de la Femme d'Influence Economique) et à Virginie Calmels, adjointe au Maire de Bordeaux (Prix Espoir de la Femme d'Influence Politique).
Thomas Montet