Comme on peut le voir en couverture du nouveau Paris Match (en kiosques le 24 août) Stéphane Bern est un homme amoureux. Après dix ans d'amour avec Cyril, c'est auprès de Lionel qu'il a trouvé le bonheur. Ces deux-là s'étaient rencontrés il y a seize ans.
Le quinquagénaire qui animera une nouvelle émission sur France 2 à la rentrée a en effet croisé pour la première son amoureux il y a bien des années. Mais à l'époque, ni l'un ni l'autre n'étaient libres. "Et puis, l'année dernière, nos horizons réciproques se sont libérés et nous nous sommes retrouvés", explique tout simplement Stéphane Bern.
Place ensuite aux présentations. Lionel "travaille dans les nouvelles technologies" et a de nombreux points communs avec Stéphane Bern, comme la passion de l'histoire. "Il a de vraies valeurs. Un véritable savoir-être. Il n'est pas attiré par ce qui brille, il adore la campagne. Lui comme moi avons les deux pieds ancrés dans la vraie vie", poursuit l'homme de télévision. Et parce que son chéri sait s'adapter à toutes les situations ("à l'aise aussi bien avec le prince Albert que dans la rue"), Stéphane Bern lui a trouvé un drôle de surnom, "mon 4x4".
Très amoureux, l'animateur de 53 ans ne tarit pas d'éloges sur sa moitié : "Depuis qu'il est entré dans ma vie, je ne cours plus après l'inaccessible. Je suis davantage dans la sérénité." Un sacré compliment !
C'est pour sa maison que le coeur de Stéphane Bern bat également. Après trois ans, les travaux de réhabilitation de son habitation et du musée Thiron-Gardais (Eure-et-Loir) sont achevés. C'est afin de "laisser une trace" que Stéphane Bern a fait l'acquisition d'une ancienne abbaye du XIIe siècle et d'un collège bénédictin devenu l'un des douze collèges royaux de France sous Louis XVI. Un lieu inauguré en juin dernier en présence de Brigitte et Emmanuel Macron.
Le patrimoine étant cher à son coeur, l'animateur a aussi créé en 2016 la Fondation Stéphane Bern pour l'histoire et le patrimoine, qui récompense à la fois un premier ouvrage en français à caractère historique et une action en faveur du patrimoine. "À ma mort, cette fondation héritera de tout et devrai faire vivre le monument", précise-t-il.
Retrouvez l'intégralité de l'interview de Stéphane Bern dans le magazine Paris Match, en kiosques le 24 août 2017.