Même si Annie ne fait pas l'unanimité au sein de la famille de Thierry Olive, le couple star de L'amour est dans le pré vit un véritable bonheur. Venu faire la promotion de son autobiographie, Je voulais juste être un petit peu heureux (Éditions Michel Lafon), l'éleveur a répondu à une interview de TV Grandes chaînes dans laquelle il a évoqué son amour pour sa douce mais également leur renoncement à un projet qui leur tenait à coeur : adopter un enfant.
Depuis plus d'un an, Thierry et Annie tentent "de planter la petite graine". Mais parfois, l'envie seule ne suffit pas. Aussi, les deux amoureux ont-ils songé à adopter un enfant, une solution qu'ils n'envisagent plus aujourd'hui pour des raisons très simples. "On y a bien réfléchi. J'aurais trop peur que l'enfant veuille retrouver ses vrais parents et qu'il nous abandonne un jour", raconte Thierry. Annie, de son côté, évoque une raison bien plus pragmatique, l'argent : "Adopter un enfant, ça coûte très cher. Nous n'avons pas les moyens." Un argument que confirme son mari : "J'ai une petite ferme, je joins à peine les deux bouts. Heureusement, Annie travaille dans un cabinet d'orthodontie."
De leur amour ne naîtra donc peut-être jamais de bébé. Mais qu'importe, Thierry et Annie sont déjà très heureux de s'être trouvés. Une destinée qui, pour la quadragénaire, a des origines divines : "Je suis persuadée que c'est Dieu qui a mis Thierry sur mon chemin. Si j'ai écrit cette lettre quand il est passé à la télé, c'est grâce à une force mystérieuse."
Thierry, aimerait que Dieu lui laisse sa chère Annie le plus longtemps possible. Cet ancien veuf, qui avait perdu sa première femme Nathalie en 2006 des suites d'une tumeur au cerveau, n'a qu'une seule peur : que l'histoire se reproduise. "La seule chose qui pourrait me faire souffrir, ce serait que tu partes avant moi. Je veux mourir le premier, car je t'aime plus que ma vie", annonce-t-il, très touchant.
Thierry et Annie ne sont pas les seuls amoureux de la saison 7 de L'amour est dans le pré à s'être mariés. Il y a quelques jours, nous apprenions avec beaucoup de joie que Frédérique et Pierre s'étaient passé la bague au doigt en Guadeloupe.