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Le chroniqueur de Touche pas à mon poste Jean-Michel Maire prend décidément des libertés avec le code de la route... Après une première arrestation en juin 2013, il a révélé ce lundi 23 juin à Cyril Hanouna avoir été contrôlé et verbalisé par les forces de police pour un excès de vitesse, vendredi 20 juin 2014.
"Je me suis fait arrêter à la sortie des quais avec ma voiture pour un léger excès de vitesse. Ils m'ont arrêté. Je n'avais pas les papiers du véhicule. Le temps qu'ils fassent les vérifications et tout ça, l'heure était passée", explique Jean-Michel Maire, justifiant son absence à un rendez-vous professionnel.
Cette mésaventure a en effet valu à l'un des hauts dirigeants de D8, avec qui Jean-Michel Maire avait un déjeuner d'affaires le jour-même, de manger seul...
Bis repetita
En juin 2013, Jean-Michel Maire était déjà arrêté par la police. Après une nuit agitée, il avait été contrôlé par des policiers très tôt le matin, avenue Georges-V, non loin des Champs-Élysées, avec une alcoolémie élevée : plus 1,10 g d'alcool par litre de sang. Rappelons qu'il est interdit de conduire avec un taux d'alcool pur dans le sang égal ou supérieur à 0,5 g par litre de sang, soit 0,25 mg d'alcool par litre d'air expiré. Au-delà de cette limite, le conducteur compromet gravement la sécurité de ses passagers et des autres usagers de la route.
A l'époque, il promettait pourtant : "C'est une bonne leçon. Je le ferai plus. Maintenant : taxi, taxi, taxi..."
Joachim Ohnona
"Je me suis fait arrêter à la sortie des quais avec ma voiture pour un léger excès de vitesse. Ils m'ont arrêté. Je n'avais pas les papiers du véhicule. Le temps qu'ils fassent les vérifications et tout ça, l'heure était passée", explique Jean-Michel Maire, justifiant son absence à un rendez-vous professionnel.
Cette mésaventure a en effet valu à l'un des hauts dirigeants de D8, avec qui Jean-Michel Maire avait un déjeuner d'affaires le jour-même, de manger seul...
Bis repetita
En juin 2013, Jean-Michel Maire était déjà arrêté par la police. Après une nuit agitée, il avait été contrôlé par des policiers très tôt le matin, avenue Georges-V, non loin des Champs-Élysées, avec une alcoolémie élevée : plus 1,10 g d'alcool par litre de sang. Rappelons qu'il est interdit de conduire avec un taux d'alcool pur dans le sang égal ou supérieur à 0,5 g par litre de sang, soit 0,25 mg d'alcool par litre d'air expiré. Au-delà de cette limite, le conducteur compromet gravement la sécurité de ses passagers et des autres usagers de la route.
A l'époque, il promettait pourtant : "C'est une bonne leçon. Je le ferai plus. Maintenant : taxi, taxi, taxi..."
Joachim Ohnona
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