Isabelle Morini-Bosc a été chroniqueuse de Touche pas à mon poste pendant presque dix ans, du 20 mai 2013 jusqu'en 2022. Aujourd'hui, elle fait partie de l'équipe de Pascale de La Tour du Pin , dans PAF, la nouvelle émission de C8 cette saison, précédant TPMP chaque soir. Ce lundi 19 février, après s'être agacée avec sa présentatrice de la grève de la SNCF qui a touché la France ce week-end, elle s'est confiée comme rarement sur son mariage avec Alain, qui dure depuis plus de 40 ans.
Révélant notamment à ses camarades lui avoir dit "oui" lorsqu'elle était mineure. Elle est également revenue sur la demande en mariage de son amoureux : "Il m'a demandé en mariage à un concert d'un groupe que je détestais, Genesis, et il y'avait tellement de bruit que j'ai dit 'oui' ! J'avais vaguement compris la question. Et comme j'ai jamais vraiment réfléchi aux choses sérieuses..."
Rappelons que les dernière fois où la journaliste spécialiste des médias s'est exprimée sur sa relation, c'était en rapport aux problèmes de santé de son mari. C'est sur le plateau de Chez Jordan qu'elle avait révélé que son époux est atteint d'une leucémie. Une épreuve douloureuse, d'autant plus que le couple a dû conjuguer son quotidien avec celui de l'hôpital. Le 30 novembre dernier, l'équipe de PAF avait abordé un sujet qui lui tient particulièrement à coeur : le danger que peuvent représenter les opioïdes médicamenteux. "Moi, j'ai une illustration. Je viens de le découvrir à notre détriment familial. Je précise que tout, Dieu merci, est rentré dans l'ordre", s'était-elle émue dans un premier temps.
Avant d'expliquer : "À mon mari, qui a deux pathologies lourdes, cancéreuse et cardiaque, on lui a donné du tramadol. Moi, je ne sais pas, je ne vais pas sur internet pour voir ce que sont les médicaments. On ne lui a pas dit à quel moment il fallait l'arrêter, donc lui, il a continué le traitement ! Pour parler vulgairement, il est parti en co*illes, complètement !" La maman de Guillaume reste aujourd'hui marquée par cette expérience, malgré le fait que traitement au tramadol de son mari a été arrêté depuis : "Il me disait 'C'est comme du Doliprane', ben tu parles..."