C'est un combat qui lui tient particulièrement à coeur. Depuis plusieurs semaines, Valérie Trierweiler se mobilise pour la libération des plus de 200 lycéennes enlevées au Nigeria par le groupe islamiste Boko Haram aux côtés d'autres personnalités comme Yamina Benguigui. Décidée à ne pas laisser cette cause tomber dans l'oubli, l'ex-compagne de François Hollande a longuement évoqué le sujet sur les ondes de RTL ce matin, vendredi 13 juin. Mais elle a également donné quelques nouvelles sur l'état de sa relation avec le président...
Cinq mois après leur rupture tonitruante, les choses semblent chaque jour aller mieux entre François Hollande et Valérie Trierweiler d'après ses déclarations. Après les révélations d'Elise Karlin, qui expliquait dans son livre Le président qui voulait vivre ses vies (Ed. Fayard) que les deux avaient repris contact et s'échangeaient des SMS, l'ex-première dame a confirmé le réchauffement de leurs relations. "Les rapports sont cordiaux comme ils le sont aussi avec mon ex-mari (Denis Trierweiler, NDLR). Au bout d'un moment, les choses s'apaisent", a-t-elle expliqué au micro d'Yves Calvi à la veille de cosigner une tribune dans Le Monde avec Carla Bruni-Sarkozy, Isabelle Adjani et d'autres personnalités pour appeler à la libération des lycéennes.
"Humiliée", comme l'avait affirmé son amie Charlotte Valandrey, par le Gayetgate, Valérie Trierweiler se refuse toutefois de critiquer publiquement François Hollande depuis. Et elle s'y tient visiblement, évitant de commenter la cote de popularité en chute libre du président. "Les sondages ne m'intéressent pas (...) Aujourd'hui je suis journaliste et je n'ai plus à dire pour qui voter puisqu'on me l'avait reproché à l'époque", confie celle qui refuse de couvrir à nouveau l'actualité politique. La marraine du Secours populaire, qui a demandé à ne plus avoir de protection policière dans son appartement de la rue Cauchy en février, selon le magazine ELLE, se dit même "touchée" par les critiques envers le chef de l'Etat. "On devrait tous être touchés parce qu'on abîme le pays lorsqu'on abîme le Président", pense-t-elle. François Hollande appréciera... et lui fera peut-être savoir par SMS.