Julie Gayet recevra 15 000 euros de la part du magazine Closer.
L'hebdomadaire français vient d'être condamné par le tribunal de Grande Instance de Nanterre à 15 000 euros de dommages et intérêts suite à la plainte de l'actrice, après la parution, en janvier dernier, de photos révélant sa liaison supposée avec François Hollande. Julie Gayet demandait 50 000 euros.
Closer devra également publier cette condamnation en couverture du magazine, indique encore l'AFP.
Au centre du GayetGate, scandale politico-romantico-médiatique qui a secoué la France et le monde, Julie Gayet avait pris soin de se faire discrète, avant de réapparaître, radieuse, à la cérémonie des César le 28 février dernier.
Et si l'actrice française, que son entourage dit sereine, a toujours choisi de ne pas s'exprimer sur cette affaire, François Hollande, en sa qualité de président de la République, avait été pressé de clarifier sa situation personnelle en conférence de presse, lui qui était alors en couple avec Valérie Trierweiler. Une désormais ex-première dame fragilisée par cette affaire, qui avait été hospitalisée pendant une semaine pour se remettre en forme et accuser le coup.
Séparée de François Hollande depuis la fin janvier, Valérie Trierweiler, journaliste pour Paris Match, a retrouvé son quotidien plus anonyme. Même si chacun de ses déplacements est un événement. Lors de la Fashion Week parisienne, début mars, elle avait créé la surprise en arrivant, souriante et amincie, au défilé Christian Dior, et en regagnant son domicile à métro.
La "triangulaire" Hollande-Gayet-Trierweiler a-t-elle écrit son dernier chapitre avec ce jugement ? Pas si sûr... Car d'après lefigaro.fr, dans un article du 26 mars, la journaliste aurait rencontré la maison d'édition Albin Michel au sujet d'un possible livre autobiographique, avec, en toile de fond, son passage auprès de François Hollande, au palais présidentiel...