Meurtrie par le Gayetgate, "humiliée" selon son amie Charlotte Valandrey... Valérie Trierweiler retrouve aujourd'hui le sourire. Trois mois après sa séparation mouvementée de François Hollande, l'ex-première dame a passé le week-end de Pâques dans sa ville natale d'Angers où elle participait hier, dimanche 20 avril, à une grande chasse aux oeufs organisée par le Secours populaire. Entourée de son inséparable amie Saïda Jawad, compagne de Gérard Jugnot, et de plusieurs dizaines d'enfants, elle semblait avoir définitivement retrouvé sa joie de vivre...
De son activité de première dame, il restera à Valérie Trierweiler quelques mauvais souvenirs mais aussi de très bons. Et notamment ses nombreux engagements humanitaires que l'ex-première dame a décidé de poursuivre en dépit de son départ de l'Élysée, comme elle l'avait prouvé, en pleine affaire Gayet, en refusant d'annuler son voyage en Inde pour Action contre la faim. C'est donc tout naturellement qu'elle a choisi de participer avec son amie Saïda Jawa, déjà avec elle à l'île Maurice en février, à cette chasse aux oeufs du Secours populaire, organisée dans le cadre de la campagne Printemps de la solidarité mondiale au parc de la Garenne à Angers.
Et Valérie Trierweiler a pu s'apercevoir qu'elle avait toujours la cote auprès des enfants, n'en déplaise au sondage qui a fait d'elle la première dame la moins aimée des Français. "C'est la meuf à Hollande ?", lance une jeune fille citée par Ouest-France. "Mais non, c'est l'ex", lui répond sa copine qui n'a visiblement pas apprécié le comportement du président avec elle, à l'instar d'une certaine Sophie Marceau. "François Hollande, en v'là un beau macho !", ajoute en effet l'ado devant Valérie Trierweiler qui n'a pas hésité à poser avec un grand sourire devant les smartphones des jeunes Angevins. "Les gens sont touchés de voir que l'on se déplace pour eux", a ainsi expliqué la marraine du Secours populaire, entre une pêche aux canards, un concert de djembé et des échanges avec les bénévoles.
Durant cette chasse aux oeufs qui permettait de collecter des dons pour financer des projets du Secours populaire à travers le monde et qui était organisée dans 78 départements en France, Valérie Trierweiler n'avait en tout cas pas l'air préoccupé par l'affaire Julie Gayet qui menace de ressurgir à tout moment. Pourtant, un livre sur sa séparation médiatique du François Hollande sortira mercredi, Le président qui voulait vivre ses vies (Ed. Fayard), une enquête signée Elise Karlin, journaliste à L'Express. L'ouvrage "inquiète" le président selon le Journal du dimanche mais pas Valérie Trierweiler, la tête tournée vers d'autres préoccupations. Même si certaines rumeurs lui prêtent à elle aussi des envies d'écrire un livre pour raconter sa vérité...