Elle a été une première dame mal aimée, malmenée par la presse, les réseaux sociaux et les Français. De son passage à l'Élysée du temps de sa relation avec l'ancien président de la République François Hollande, Valérie Trierweiler a notamment souffert d'une rumeur : celle d'un coup de sang qui aurait eu un coût exorbitant.
Dans l'émission Clique, présentée par Mouloud Achour sur Canal+, l'ex-première dame a évoqué, le mardi 8 octobre, la sortie de son livre On se donne des nouvelles (Les Arènes). Interrogée sur les "fake news" dont elle a été victime pendant les deux années qu'elle a passées en tant que première dame et après – notamment sur une supposée liaison avec Alain Delon –, Valérie Trierweiler a rappelé celle qui l'a le plus agacée. "Je le dis et, peut-être que je peux me crisper quand j'en parle, parce que je ne l'ai toujours pas digéré, c'est quand on a fait croire que j'avais cassé du mobilier à l'Élysée pour 3 millions d'euros et de la vaisselle", s'est-elle souvenue. Une scène qui se serait soi-disant produite lorsqu'elle avait appris la relation entre François Hollande et Julie Gayet.
"C'est faux, archifaux. Il y a eu des démentis, du Mobilier national, de l'Élysée, je l'ai démenti moi-même, mais ça ne l'empêche pas d'être récurrent et de revenir encore. (...) Vous démentez, ça continue. Bon, je pense qu'il vaut mieux démentir quand même parce que si vous ne démentez pas, ils vont dire : 'Bah oui, mais elle n'a pas démenti, donc c'est vrai.' C'est très compliqué. Vous démentez, ça ressort ailleurs, ça ressort toujours", a-t-elle ajouté.
Aujourd'hui, la journaliste de Paris Match a repris une vie presque normale. À 54 ans, elle a même retrouvé l'amour dans les bras de l'ancien rugbyman Romain Magellan, s'est lancée dans l'écriture et veille sur ses trois fils.
Thomas Montet