Très complices et proches dans la vie, Saïda Jawad et Valérie Trierweiler vont donner encore un peu plus de relief à leur belle histoire d'amitié. L'ex-compagne de Gérard Jugnot a eu la bénédiction de l'ex-première dame, laquelle a placé toute sa confiance dans l'élégante comédienne vue dans La Conquête pour... adapter le sulfureux best-seller Merci pour ce moment au cinéma !
Interrogée par le magazine Gala sur la question des droits du roman dans lequel Valérie Trierweiler revient sans fard sur sa relation avec François Hollande et l'infidélité de ce dernier, Saïda Jawad n'a pas manqué de confirmer, assurant qu'elle était en possession des droits du livre "en tant qu'auteur et productrice". Selon elle, "Valérie incarne la lutte d'une femme qui crie" et se retrouve pleinement dans les thèmes qui sont chers à Saïwa Jawad. Elle poursuit : "Donc Romarin Films, ma société de production, en accord avec Valérie, développe actuellement l'adaptation cinématographique du best-seller et envisage des coproductions avec des sociétés françaises et internationales."
Si Valérie Trierweiler aura bien un droit de regard sur le film, Saïda Jawad croit bon de préciser que "le biopic sera romancé", avançant la garantie "que l'on découvrira de nouvelles choses" avec cette vision bâtie pour le grand écran. "Je ne prépare pas un film polémique, je veux juste raconter le combat d'une femme amoureuse", assure l'actrice et auteure de théâtre de 41 ans.
Depuis 2011, la comédienne et l'ex-compagne de François Hollande sont inséparables. Un coup de foudre amical qui ne cesse de prendre de l'ampleur. Engagée aux côtés de Valérie Trierweiler, premier soutien de cette dernière (qu'elle trouve injustement traitée depuis la sortie de Merci pour ce moment), Saïda Jawad ne manque pas de superlatifs pour qualifier sa BFF : "J'aime la femme. Sa sincérité, son intégrité, sa force, sa sensibilité." Et de clamer qu'elle considère sa meilleure amie "à mi-chemin entre la véritable amie et la soeur".
Interview à retrouver en intégralité dans le magazine Gala du 7 janvier.