Véronique Sanson© Abaca
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Sollicitée à de nombreuses reprises pour le lancement de sa tournée, après la sortie de son album Plusieurs Lunes, Véronique Sanson livre une interview pour VSD qui parle plus de politique que de musique ! Moins agressive, elle se laisse aller à des compliments, elle qu'on a entendue très dure avec Johnny Hallyday ou encore Gérard Depardieu et Philippe Manoeuvre.
L'entretien à connotation politique démarre en douceur avec une question amusante : Dans la peau de quel homme politique aimeriez-vous être ? "Villepin ! Il m'est arrivé de rêver de lui, il était si beau dans sa chemise rose et vous savez quoi, nous étions a-mou-reux ! Je l'admire car il parle si bien de notre pays. On sent chez lui une droiture qu'on se dit qu'il ne va pas nous arnaquer, lui." Véronique Sanson est particulièrement élogieuse parfois !
Des mots doux, elle en a aussi pour Jean-François Copé, qu'elle espère voir se présenter aux présidentielles en 2012 : "Il a la carrure pour être un chef d'Etat." La chanteuse et le politique se connaissent bien. En 2009, elle avait enjoint à Meaux lors du festival Muzik'elles Jean-François Copé à la rejoindre sur scène pour chanter une chanson... scato. Cela avait fait débat, mais elle s'était justifiée en parlant de la franche amitié qui l'unissait avec Copé et que tout ceci n'était que pour rigoler.
Véronique continue sur la voie de la gentillesse en défendant Martin Aubry : "Je prends sa défense car je trouve ignoble qu'on l'attaque sur son physique." Carla Bruni, épouse de Nicolas Sarkozy, reçoit également des fleurs : "C'est une femme so sweet et si intelligente. Ça m'énerve qu'on dise que c'est la personnalité qui a le plus agacé les Français en 2010." Il s'agissait d'un sondage réalisé pour VSD en décembre dernier.
Véronique Sanson veut répandre de l'amour, après avoir failli connaître l'horreur de l'amputation d'un doigt ! Ah, tiens, elle finit l'interview par un coup de gueule quand même, dès que le mot "privilégié" est lancé : "Mais moi, je fais bien plus que 35 heures par semaine, sans compter les week-ends et les jours fériés... J'entends toujours dire que les artistes roulent sur l'or et qu'ils feraient mieux de fermer leur gueule. Eh bien non, il y a des tas d'artistes qui crèvent bien plus la dalle que certains fonctionnaires !" Déclamant ces propos, la chanteuse anticipe les critiques : "Je vais me faire mal voir en parlant ainsi, mais qu'importe ! Si dans ce pays, on ne peut plus parler, alors c'est vraiment grave..."
Retrouvez l'intégralité de cet entretien dans le magazine VSD du 27 janvier.
L'entretien à connotation politique démarre en douceur avec une question amusante : Dans la peau de quel homme politique aimeriez-vous être ? "Villepin ! Il m'est arrivé de rêver de lui, il était si beau dans sa chemise rose et vous savez quoi, nous étions a-mou-reux ! Je l'admire car il parle si bien de notre pays. On sent chez lui une droiture qu'on se dit qu'il ne va pas nous arnaquer, lui." Véronique Sanson est particulièrement élogieuse parfois !
Des mots doux, elle en a aussi pour Jean-François Copé, qu'elle espère voir se présenter aux présidentielles en 2012 : "Il a la carrure pour être un chef d'Etat." La chanteuse et le politique se connaissent bien. En 2009, elle avait enjoint à Meaux lors du festival Muzik'elles Jean-François Copé à la rejoindre sur scène pour chanter une chanson... scato. Cela avait fait débat, mais elle s'était justifiée en parlant de la franche amitié qui l'unissait avec Copé et que tout ceci n'était que pour rigoler.
Véronique continue sur la voie de la gentillesse en défendant Martin Aubry : "Je prends sa défense car je trouve ignoble qu'on l'attaque sur son physique." Carla Bruni, épouse de Nicolas Sarkozy, reçoit également des fleurs : "C'est une femme so sweet et si intelligente. Ça m'énerve qu'on dise que c'est la personnalité qui a le plus agacé les Français en 2010." Il s'agissait d'un sondage réalisé pour VSD en décembre dernier.
Véronique Sanson veut répandre de l'amour, après avoir failli connaître l'horreur de l'amputation d'un doigt ! Ah, tiens, elle finit l'interview par un coup de gueule quand même, dès que le mot "privilégié" est lancé : "Mais moi, je fais bien plus que 35 heures par semaine, sans compter les week-ends et les jours fériés... J'entends toujours dire que les artistes roulent sur l'or et qu'ils feraient mieux de fermer leur gueule. Eh bien non, il y a des tas d'artistes qui crèvent bien plus la dalle que certains fonctionnaires !" Déclamant ces propos, la chanteuse anticipe les critiques : "Je vais me faire mal voir en parlant ainsi, mais qu'importe ! Si dans ce pays, on ne peut plus parler, alors c'est vraiment grave..."
Retrouvez l'intégralité de cet entretien dans le magazine VSD du 27 janvier.