En pleine Fashion Week parisienne, c'est à New York que l'on retrouve la plantureuse Victoria Silvstedt. Amoureuse d'electro (elle a récemment participé aux shows de Calvin Harris et de la Swedish House Mafia), c'est pourtant près d'une salle obscure que l'électrique playmate suédoise est récemment apparue face aux photographes. Au côté de James Franco, elle s'est envolée pour le fantaisiste Monde fantastique d'Oz pour une projection privée co-organisée par Gucci et se déroulant au DGA Theater.
Éloignée de la mode, univers pour lequel elle a créé une ligne de lingerie nommée Very Victoria Silvstedt, la belle Suédoise ne passe inaperçue dans les rues de New York. Sculpture parfaite, look satiné et brillant, Victoria Silvstedt électrise la grosse pomme. La mannequin, également présentatrice télé et comédienne, n'était pourtant pas seule. Parmi les people recensés, Charlotte Ronson, Alyssa Miller ou encore Emmy Rossum (actuellement à l'affiche de Sublimes Créatures) et Julie Henderson ont pris part à l'événement.
Pendant que Sam Raimi assure à Paris la promo du Monde fantastique d'Oz, c'est James Franco qui, de retour aux États-Unis après une avant-première européenne où on l'a vu très bien entouré par les trois actrices du film, poursuit l'exercice promotionnel. Redevenu brun après une incartade blonde d'un goût douteux, James Franco savoure son retour au blockbuster.
Une quatrième collaboration avec Sam Raimi, réalisateur dont il est devenu très proche avec la saga Spider-Man où il campait l'attant Harry Osborn, qui le place cette fois-ci au premier plan. En effet, avec Spider-Man et la lumière braquée sur Tobey Maguire en homme-araignée, James Franco souffrait en silence et avoue qu'il se "sentait un peu sur la touche", lors d'une interview à Studio Ciné Live (numéro de mars 2013). Chose réparée, il est désormais le célèbre magicien d'Oz, un héros de sa jeunesse parce qu'il a "baigné dans les livres de L. Frank Baum". Replongeant dans la magie de cette univers, James Franco voit dans ce long-métrage quelque chose qui lui rappelle les "vieux films d'époque", à la différence qu'aujourd'hui, le travail de féerie se déroule surtout en postproduction.
Insaisissable amoureux des artw, James Franco s'est imposé comme un électron libre, capable de jouer Oz comme le poète Allan Ginsberg. Du blockbuster aux films d'auteur, James Franco ne se pose qu'une seule question : "Quelle est la meilleure approche pour l'aborder ?" On imagine qu'outre l'univers d'Oz, ce qui l'intéresse également ici, c'est cette réflexion sur ce qu'est un metteur en scène et quelles sont les frontières entre l'illusion et le réalisme.
"Le Monde fantastique d'Oz" sortira le 13 mars 2013 en France.