Ces derniers jours, on ne parle que de ça : les punaises de lit. Dans les salles de cinéma, les trains, les bibliothèques, le métro et, surtout, dans nos draps, ces petits insectes inquiètent de plus en plus. Le problème engendre des angoisses extrêmes chez les Français et une véritable psychose nationale est en train de s'installer.
Ce mercredi 27 septembre, Yann Barthès s'est emparé du sujet qui prend beaucoup d'ampleur dans son émission Quotidien (TMC). Et comme toujours, avec humour. En effet, l'animateur a préféré faire preuve de légèreté et se jouer de la peur des Français en se procurant un bocal rempli de punaises de lit. "Si vous voulez savoir vraiment à quoi ça ressemble, on a récupéré pour vous quelques punaises. Pour les trouver c'est hyper facile, il suffit d'aller à Gare de Lyon, comptez jusqu'à trois et vous remplissez un bocal !", a-t-il ironisé en exposant fièrement les bêtes redoutées.
Yann Barthès a ensuite dénoncé l'emballement des médias autour de ce fléau, lesquels provoquent la peur selon lui. "Rien de tel que la télé pour alimenter une psychose car, entre nous, vous pensiez vraiment qu'il n'y avait pas de punaises de lit la semaine dernière dans les trains avant qu'on ait la preuve en image ?", a-t-il lâché pour introduire les reportages sur les insectes.
Pendant leur diffusion, Yann Barthès a voulu reposer son bocal à ses pieds mais, en ce faisant, celui-ci s'est ouvert. Ni une ni deux, le public et les chroniqueurs de Quotidien en ont été terrifiés. "Deux secondes !", a alors réagi Yann Barthès avant de s'empresser de refermer le bocal. "C'est bon, j'ai géré !", a-t-il assuré sous les rires jaunes. Car autour de lui, on commençait véritablement à paniquer. "Il y en a là sur ta feuille !", lui a fait remarquer une chroniqueuse. Avant de déplorer : "C'est bon, on est envahis..." Etienne Carbonnier a de son côté carrément lâché un "putain", dégoûté par ce qu'il venait de se passer et pas du tout rassuré.
Yann Barthès a de son côté enchaîné en lançant la suite de son reportage, comme si de rien n'était...