Yann Barthès contraint de faire une mise au point dans Quotidien après avoir pris une grande décision (VIDEO)

A l'image de son concurrent direct, Cyril Hanouna - qui a annoncé vouloir porter plainte contre l'Arcom -, Yann Barthès a repris le chemin de l'antenne le lundi 2 septembre 2024. L'ancien présentateur du Petit journal a lancé sa neuvième saison de Quotidien sur TMC.

En amont de sa rentrée, il a accordé une interview à La Tribune du Dimanche. Au cours de celle-ci, l'animateur phare du canal 10 de la TNT s'est livré à une annonce inattendue. Celle qu'il allait arrêter de recevoir des politiques dans Quotidien. "Cette saison, nous allons arrêter de recevoir des politiques, sauf exception d'une grande figure qui reviendrait dans le débat public ou une sortie de livre", a-t-il lâché.

Yann Barthès a justifié son choix en pointant du doigt "les quarante-huit heures d'interviews politiques à la télé chaque semaine". Selon lui, le discours des politiques est devenu trop inaudible. "Les politiques sont devenus inaudibles et déroulent leurs éléments de langage sur tous les plateaux...", a-t-il argué tout en prenant pour exemple son interview de Manon Aubry la saison dernière. "Elle commençait une phrase et j'étais capable de la finir, car je l'avais entendue pendant une semaine...", s'est-il amèrement souvenu.

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Le présentateur, qui a recalé un célèbre humoriste, a été à la tête d'une nouvelle édition de Quotidien ce mercredi 4 septembre 2024. Et quelle ne fût pas la surprise des téléspectateurs de voir qu'un politique était l'invité de l'émission ! Au moment de l'arrivée de François Hollande, ancien président de la République venu pour commenter la crise qui secoue la France - toujours dans l'attente de la nomination d'un nouveau Premier ministre -, Yann Barthès s'est empressé de faire une mise au point.

"Je vais commencer par juste une précision. J'ai dit cette semaine dans une interview que nous ne recevrions plus de politiques pour échapper aux éléments de langage rabâchés. Et rabâchés en radio et en télé... Je rappelle plus de quarante-huit heures d'interviews politiques chaque semaine...", a-t-il lancé. Le présentateur star de TMC a ensuite indiqué qu'il avait aussi dit : "Sauf exception".

"L'exception, c'est par exemple la sortie d'un livre événement (tout en montrant celui de François Hollande). C'est par exemple le statut d'ancien chef de l'Etat ou d'ancien Premier ministre ou de grande figure rare dans les médias", a-t-il précisé avant de lancer à François Hollande, quelque peu surpris par cette entrée en matière : "Vous cochez plusieurs cases, donc bienvenue !".