Avec des parents tels que Vincent Cassel et Monica Bellucci, difficile de ne pas hériter des gênes de séducteur-né pour les deux enfants du couple divorcé. Dans une interview accordée à Madame Figaro – dont il fait la couverture, photographie signée Jean-Baptiste Mondino – Vincent Cassel s'est laissé aller à quelques confidences sur l'amour... et ses filles.
Il explique notamment que sa grande de 11 ans, Deva, fait déjà tourner la tête des garçons au collège. "Ma fille de 11 ans a un amoureux. Il est plus petit qu'elle, confie l'acteur de 48 ans. Je lui ai demandé : 'Tu ne veux pas en choisir un plus grand ?' Elle m'a répondu : 'Mais papa, les garçons sont beaucoup moins mûrs que nous. Il faut être patiente'."
Vincent Cassel, que l'on retrouvera bientôt à l'affiche de Mon Roi (film de Maïwenn qui dépeint son histoire d'amour tumultueuse avec Emmanuelle Bercot), se décrit également comme un homme "fleur bleue" et que cela lui est "déjà arrivé de tomber amoureuse très vite". L'ex-mari de Monica Bellucci croit aussi savoir que les femmes veulent "la belle et la bête", ce qu'il est en quelque sorte au fond. "Vous les femmes, vous souhaitez un prince charmant, un séducteur qui vous fasse rire, mais un homme pareil, il ne reste pas à la maison, il sort, il aime les montagnes russes. Et avec un type gentil, un casanier, un type qui vous offre une vie sans vagues, vous vous ennuyez", clame l'intéressé dont le mariage avec la nymphe italienne aura duré 14 ans.
En référence à son complexe personnage dans Mon Roi, le fils de Jean-Pierre Cassel a également assuré qu'un homme très bon menteur ne se quitte pas, notamment "parce qu'il est prêt à tout pour la garder". Et de conter une croustillante anecdote impliquant Annie Girardot et son mari l'acteur italien Renato Salvadori : "Un soir, il sort sans elle, il dit qu'il a un truc professionnel. Elle a un doute, elle file dans la boîte où il aimait aller. Elle le trouve là, entouré de filles. Elle est furieuse, elle fonce sur lui et il lui répond : 'Je ne sais pas de qui vous parlez, je ne m'appelle pas Renato. Je dois être un sosie'. Elle a toujours eu un doute."
Interview à retrouver en intégralité dans Madame Figaro en kiosques les 2 et 3 octobre 2012.