A l’affiche depuis le 20 novembre dernier du film de Gilles Bourdos intitulé Le choix, Vincent Lindon y tient le rôle principal. S’il y a un autre rôle qui est important pour lui, c’est bien celui de père. D’abord papa de Marcel en 1996, puis de Suzanne, sa fille qu’il a eue avec Sandrine Kiberlain, l’acteur tient à être présent au maximum pour ses enfants. Lors d’un entretien avec Audrey Crespo-Mara dans Sept à Huit, il avait d’ailleurs confié : "Ce dont j’ai envie, c’est qu’ils se disent : 'On peut l’appeler à n’importe quelle heure du jour et de la nuit. Il est là.' Je suis là". Le comédien fait de son mieux pour être le plus présent car il a lui-même souffert de la séparation de ses parents et de leurs emplois du temps chargés. L’épouse de Thierry Ardisson avait d’ailleurs demandé à Vincent Lindon : "Vous n’êtes pas comme vos parents, entre deux portes ?" . Et le comédien de répondre par la négative.
Ce mercredi 11 décembre est un jour spécial pour la famille Lindon puisque Marcel, l’aîné des deux enfants de Vincent Lindon fête son 27ème anniversaire. "Joyeux anniversaire Marcel ! Mon frère, mon meilleur binôme <3", a écrit Suzanne sur Instagram. De son côté, Sandrine Kiberlain a commenté la publication de sa fille pour confier tout son amour à son beau-fils. "Je vous aime", a-t-elle écrit avec des coeurs rouges. Et le principal intéressé de répondre : "Ahahaha je suis en Mylène Farmer !!! je t’aime". Sa petite soeur a en effet posté plusieurs clichés mais aussi des vidéos d’eux deux sur lesquelles ils se mettent en scène et montrent un peu plus leur lien privilégié. En 2022 déjà, la comédienne avait écrit sous des vidéos drôles avec son frère : "Joyeux anniversaire Marcel, on ne change pas une équipe qui gagne".
La famille recomposée est très soudée comme en témoignent les clichés partagés par la jeune réalisatrice qui a horreur qu’on lui rappelle qu’elle est une "fille de". En 2016, dans une interview accordée à nos consoeurs de Marie Claire, Vincent Lindon s’était déjà confié sur ses angoisses en tant que papa. "Il n’y a ni combine ni passe-droit pour échapper à la mort. C’est une angoisse qui m’étreint davantage depuis que j’ai des enfants. Avant, je me sentais un peu immortel, je prenais des risques en roulant trop vite, en me mettant des murges…", a-t-il d’abord reconnu. Puis de préciser : "Je ne suis pas inquiet pour moi, mais pour le père que je suis. Je veux qu’il soit toujours en forme pour subvenir à n’importe lequel de leurs besoins. C’est une obsession".