Virginie Efira, un modèle à suivre pour Julia Roberts ? S'il n'en est rien, c'est en tout cas ce qu'une de ses amies a essayé de lui faire croire comme elle l'a raconté, ces derniers jours, dans le podcast Les Vagues du magazine ELLE. Interrogée sur son actualité, elle a en effet intrigué la journaliste qui menait l'interview avec un objet étrange trouvé dans son bureau.
"Nous sommes ici dans votre bureau, pas loin de chez vous, et il y a un autographe, celui de Julia Roberts, en tout cas une photo dédicacée de Pretty Woman, quand elle est dans son bain à bulles", a décrit l'intervieweuse, avant que Virginie Efira, hilare, n'explique l'origine de ce cadeau apparemment "faux", offert par l'une de ses meilleures amies.
"J'ai une passion pour les gestes de Julia Roberts. Quand Pretty Woman est sorti, je devais avoir quinze ans et [...] il y a l'apparition de cette femme qui marche comme un camionneur, qui est d'une beauté incandescente. Il y a un truc d'enfant, ses gestes... Moi j'étais folle d'elle, complètement", a-t-elle d'abord expliqué avant de raconter qui lui a fait la blague de l'autographe. "J'étais folle de Julia Roberts, mais il y a quelqu'un que j'aime au moins autant, c'est Rebecca Zlotowski, avec qui j'ai fait Les Enfants des autres, dont je suis folle comme réalisatrice autant que comme fille dans la vie", a-t-elle raconté.
"Et c'est un cadeau de Rebecca Zlotowski, qui m'a fait un faux, je vous avoue tout", a-t-elle finalement lancé, avant de préciser, avec humour : "Une fausse dédicace, un autographe de Julia Roberts, qui n'aurait quand même pas mis 'To my rule model'. J'aimerais beaucoup l'inspirer mais on n'en est pas là encore hein !".
Une belle amitié conclue autour du film Les Enfants des autres, dans lequel Virginie Efira jouait la belle-mère des enfants de son mari. Un rôle qui a fait écho chez elle, maman de deux enfants et qui a autrefois été la belle-mère de certains bambins. "A la lecture du scénario, ça a provoqué en moi quelque chose qui m'était extrêmement lié, sans même que j'aie pu l'interroger avant", avait-elle notamment expliqué sur France Inter.
Un film parlant de maternité... mais qui l'a ramenée à Pretty Woman. En effet, trente ans après sa sortie, le film l'a marquée différemment maintenant qu'elle a une fille : "Quand il est sorti, j'avais quinze ans, il n'y avait pas du tout la grille de lecture d'aujourd'hui sur les films MeToo, pré MeToo, post MeToo, etc..., de sorte que quand je l'ai montré à ma fille [Ali, 10 ans, née de ses amours passées avec Mabrouk El Mechri, ndlr], je me suis dit qu'il allait falloir quelques explications en plus". Et on espère qu'avec tout cela, elle aura réussi à lui transmettre sa passion pour Julia Roberts !